Maman d’un petit garçon prénommé Ayvin-Aaron, Ayem Nour s’est récemment exprimée sur son désir, ou plutôt son absence de désir, d’agrandir sa famille. Invitée du podcast LA Série le 31 mars 2025, l’ex-femme de Dylan Thiry devenue entrepreneuse a livré un témoignage sincère, sans langue de bois. Sur les raisons qui la poussent à renoncer à une seconde grossesse.
Connue pour son franc-parler, l’ancienne animatrice de NRJ 12 s’est confiée sur les réalités de la maternité. Loin des images idéalisées souvent véhiculées sur les réseaux sociaux. Dans un échange avec Laurent Argelier, l’ennemie de Matthieu Delormeau a évoqué les contraintes physiques et mentales qu’implique une grossesse. Assumant un point de vue personnel mais assumé, à contre-courant des discours habituels.
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Ayem Nour, une maternité épuisante et trop souvent idéalisée
Pour Ayem Nour, l’idée d’avoir un autre enfant n’est pas à exclure par manque d’amour ou de désir maternel, mais bien à cause des exigences concrètes que cela suppose. « Sans les kilos ? Si c’est sans les kilos… », a-t-elle d’abord ironisé, avant de livrer un propos plus profond.
Ça ne va pas plaire, mais s’il n’y avait pas la contrainte, c’est horrible ce que je vais dire mais je le pense ! de la prise de poids, la surcharge mentale, de ne plus pouvoir travailler quotidiennement, tout ce que ça engendre, je ferais douze gosses !
Derrière cette déclaration se cache une vraie réflexion sur le quotidien des mères, souvent invisibilisé. Entre l’épuisement physique, l’abandon temporaire de sa carrière, et les responsabilités accrues, la maternité est un bouleversement. Ayem Nour pointe aussi une forme de pression sociale, notamment véhiculée par les influenceuses : « Celles qui font des stories tous les jours, les mamans parfaites où tout est parfait… Je trouve ça génial et si elles y arrivent, c’est super. Mais moi, je n’y arrive pas ! »
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Ces propos mettent en lumière une maternité vécue avec lucidité, loin des injonctions à la perfection. Ayem, qui s’est longtemps battue pour la garde de son fils avec son ex-compagnon Vincent Miclet, revendique aujourd’hui le droit de choisir son équilibre. Maman comblée, elle n’en reste pas moins une femme active. Avec des ambitions professionnelles et une volonté farouche de se préserver. À travers cette prise de parole, elle ouvre un espace de réflexion pour toutes celles qui, comme elle, ne se reconnaissent pas dans les récits édulcorés de la parentalité. Un point de vue qui, bien qu’il puisse dérouter, a le mérite d’être honnête et salutaire.
Une vision réaliste et personnelle de la parentalité
Au-delà des contraintes physiques, c’est l’investissement émotionnel et organisationnel qu’Ayem Nour souhaite éviter. Désormais en couple avec un homme dont elle garde l’identité secrète, elle mène de front sa vie de famille et sa carrière de créatrice de cosmétiques. « J’ai mon fils, ma belle-fille, ma vie… C’est déjà beaucoup de travail », confie-t-elle. Une réalité logistique dense qui laisse peu de place à un second enfant. Toujours proche de Jessica, la fille de Vincent Miclet, elle endosse également un rôle affectif auprès d’elle. Ce quotidien intense, combiné à ses obligations professionnelles, ne laisse guère de place à une nouvelle maternité.
Enfin, Ayem remet en question la manière dont la société présente la grossesse. Pour elle, « il faut arrêter de vendre aux gens que la maternité, la grossesse et l’accouchement sont des trucs mignons et extraordinaires… Ce n’est pas vrai, il n’y a rien d’extraordinaire, à part l’arrivée de ce nouvel être formidable ». Cette déclaration, aussi tranchée soit-elle, résonne comme un cri du cœur. Une envie de déconstruire les mythes persistants autour de la parentalité. En mettant des mots sur une réalité souvent tue, Ayem Nour redonne voix à celles qui vivent la maternité comme une épreuve autant qu’un bonheur.