Soraya Riffy : l’influenceuse victime d’une agression en allant au travail

En mars 2018, l’affaire refait surface : Soraya Riffy confirme avoir porté plainte contre Jean-Michel Maire pour agression sexuelle. L’incident remonte à octobre 2016, lors d’un direct de l’émission « Les 35 heures de Baba » sur C8. Alors qu’elle refusait à plusieurs reprises un baiser, le chroniqueur l’avait embrassée de force sur la poitrine.

À l’époque, bien qu’il ait présenté des excuses en larmes et qu’elle ait annoncé ne pas porter plainte, l’événement avait suscité une mise en demeure du CSA. Un an et demi plus tard, l’influenceuse revient sur sa décision, justifiant son action par les nombreuses menaces, critiques violentes et troubles psychologiques subis depuis. Jean-Michel Maire, surpris, déclare qu’il n’a pas été prévenu et estime que l’affaire aurait dû être traitée à l’époque, pas rétroactivement.

Harcèlement et révélations, Soraya Riffy au cœur de l’actualité

En 2023, Soraya Riffy refait parler d’elle, mais cette fois dans un tout autre contexte. Elle affirme que Nikola Lozina, à l’époque fraîchement séparé de Laura Lempika, aurait tenté de la séduire de façon insistante pendant trois mois. Selon elle, malgré son refus clair et le fait qu’elle soit en couple, le candidat de télé-réalité aurait persévéré, allant jusqu’à dire qu’il était prêt à attendre sa rupture.

Face aux doutes du public, Soraya publie des captures de conversations en guise de preuves. Si ces révélations ont alimenté les discussions, elles font place à un nouveau drame : l’influenceuse vient de subir une grave agression. Une nouvelle épreuve qui pourrait expliquer sa volonté de se faire entendre et de reprendre le contrôle sur sa parole.

L’influenceuse se fait violemment agresser

Soraya Riffy, infirmière libérale et influenceuse, a récemment partagé un témoignage bouleversant sur les réseaux sociaux. Appelée en urgence par un patient en détresse, elle a modifié sa tournée pour le rejoindre rapidement. Dans une série de stories, elle explique : « Dans le cadre de mon travail en tant qu’infirmière libérale, j’ai dû agir par priorité en vue d’aller chez un patient en alerte. J’étais au téléphone avec lui, il m’a dit qu’il se sentait mal. » Ce patient, souffrant d’antécédents cardiaques, nécessitait une intervention rapide. Mais Soraya a été prise à partie par une femme, qui l’a rouée de coups sans raison apparente. 

Voilà la France à 7h du matin, dehors pour bosser et tu te fais agresser pour de la merde

Lâche-t-elle, encore sous le choc. Puis, elle ajoute avec amertume : « Oh toi la France, j’ai appris à t’aimer et j’ai aussi appris à te détester. » Dans un cri du cœur, elle dénonce une insécurité quotidienne : « L’insécurité en France est bien réelle, tu te lèves tôt le matin, tu vas travailler, tu vis ça. France, insécurité, Marseille… le danger est permanent. »

Un homme serait heureusement intervenu pour la sortir des mains de son agresseuse. Très éprouvée, Soraya Riffy a également fait un parallèle avec l’affaire dramatique du frère de Kamila, entre la vie et la mort après avoir été violemment passé à tabac par un groupe de jeunes. Elle s’interroge sur la banalisation de la violence à l’encontre des personnalités publiques : « Les personnalités publiques soumises à des violences physiques et verbales parfois graves, je comprends pas. Sous prétexte qu’on est des gens connus, on doit se prendre des claques ? Je suis pas d’accord. » En mêlant douleur personnelle, indignation citoyenne et témoignage de terrain, Soraya Riffy lance un appel à la reconnaissance d’une réalité trop souvent ignorée. 

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