Cela fait maintenant treize ans que l’acteur Mouss Diouf nous a quittés, emporté à l’âge de 47 ans après un grave AVC. Figure marquante du petit écran, notamment dans Julie Lescaut, il a laissé derrière lui des proches bouleversés. Parmi lesquels son épouse Sandrine et leur fils Isaac. Depuis, chaque année, le 7 juillet devient un jour de recueillement, d’amour et de souvenir.
En 2025, comme à son habitude, Sandrine Diouf a pris la parole sur Instagram à une heure très symbolique. 1h50 du matin, l’heure exacte du décès de son époux Mouss Diouf. Par ce geste intime et sincère, elle rappelle que le temps n’efface ni l’amour ni la douleur. Son message, à la fois sobre et bouleversant, témoigne de l’intensité du lien qui les unissait. Et de la force avec laquelle elle continue d’avancer pour leur fils.
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Un hommage vibrant et profondément humain à Mouss Diouf
Depuis la disparition de Mouss Diouf en 2012, sa veuve Sandrine n’a cessé de puiser dans ses ressources pour se relever, pour leur fils Isaac, mais aussi pour préserver la mémoire de celui qu’elle aimait. Cette année encore, treize ans jour pour jour après sa mort, elle s’est exprimée sur Instagram à l’heure même de son dernier souffle. « 7 juillet – 1h50. 13 ans que tu nous as quittés. Mais rien ne t’efface. Tu m’as aimée avec force, tu nous as laissés avec ton courage », a-t-elle écrit. Par ces mots, elle évoque un amour puissant, intact malgré l’absence. Et une admiration toujours aussi vive pour l’homme qu’il a été.
Au fil des années, Sandrine a su se reconstruire, tout en élevant Isaac, leur fils, aujourd’hui adolescent. Dans son message, elle confie : « Isaac te ressemble tant dans ses gestes, sa lumière, son silence. Il est grand aujourd’hui, solide, beau. Nous nous sommes reconstruits. Et chaque jour, je sais que tu es fier de nous. » Ce témoignage vibrant d’amour et de résilience révèle la force d’une femme qui, malgré le chagrin, a poursuivi sa route avec dignité. Agent immobilier dans le secteur du luxe, elle s’est reconstruite une vie, sans jamais oublier son premier combat. Celui d’une mère prête à tout pour offrir un avenir au fils qu’elle a eu avec Mouss Diouf.
Une famille soudée face à l’absence
La perte de Mouss Diouf a laissé un vide immense, non seulement pour Sandrine et Isaac, mais aussi pour ses deux filles aînées, Tessa et Séléna, nées d’une précédente union. Si chacune a choisi son propre chemin pour vivre avec cette absence, elles partagent un même fil conducteur : l’envie d’honorer leur père. Tessa mène une vie de voyages et d’expériences aux quatre coins du monde. Quant à Séléna, elle a embrassé une voie artistique, suivant instinctivement les pas de son père comédien.
Actrice et mannequin, Séléna Diouf multiplie les projets engagés, donnant vie à des personnages dans des courts-métrages comme Sororité, No Feminist ou encore 8’46, une œuvre poignante en hommage à George Floyd. Elle ne se contente pas d’imiter : elle s’approprie, s’affirme, et transforme l’héritage paternel en engagement personnel. Si Mouss Diouf a su faire rire et toucher des millions de Français, sa fille, elle, tente de faire bouger les lignes, à travers l’art et la parole. Sa trajectoire témoigne de l’impact profond que son père a eu, non seulement sur le public, mais surtout sur sa propre descendance.