Depuis quelques semaines, Slimane est au cœur d’un gros scandale médiatique. Pour cause, le chanteur est accusé de harcèlement sexuel. Selon la plainte déposée par un ancien technicien de sa tournée Cupidon Tour, l’interprète de Mon amour l’aurait « bloqué contre un mur » pour lui « imposer une étreinte » lors d’une soirée de décembre 2023. Des allégations qui arrivent au mauvais timing pour le jeune papa.
Pour cause, Slimane était attendu aux NRJ Music Awards quelques jours plus tard. Un moment lors duquel l’artiste s’est effondré sur scène. Mais depuis cette apparition, le chanteur esquive soigneusement les prises de parole en rapport avec les accusations dont il est la cible. En revanche, le principal concerné a quand même mis quelques mesures en place. Mais aujourd’hui, son nom ressort de nouveau dans une plainte.
Sur le même sujet
Accusé de harcèlement sexuel, Slimane prend des mesures
Pourtant nommé dans deux catégories lors des NMA du 1ᵉʳ novembre dernier, la venue de Slimane lors de l’évènement était remise en cause. En effet, après les accusations sorties à l’encontre du chanteur, une question brulait les lèvres : sera-t-il présent pour la cérémonie ? Finalement, le jeune papa foulera bel et bien le tapis rouge lors de la soirée. Toutefois, il ne fera aucune mention à la plainte qui lui colle à la peau, et ce, même lors de son discours après avoir gagné le trophée de l’artiste masculin de l’année.
Selon le magazine Voici, l’artiste aurait alors « refusé de regarder le scandale en face ». Et une autre résolution de Slimane suscite la méfiance du média. En effet, au lendemain de sa prestation, le chanteur qui représente la France à l’Eurovision a restreint tous les commentaires sous ses publications Instagram. Pour l’hebdomadaire, cela constituerait « une preuve qu’il craint la réaction du public et veut fuir le scandale à tout prix ».
Une deuxième plainte vient d’être déposée contre le chanteur, son frère intervient
Un second témoignage révélé par Le Parisien fait surface ce 18 novembre. Dans celui-ci, il est question d’un autre technicien qui a déposé plainte contre le chanteur. Et les faits présumés se seraient déroulés au cours de la même soirée de décembre 2023. Le quotidien a pu consulter des documents dans lesquels le plaignant raconte comment Slimane lui a murmuré à l’oreille, tandis qu’il dansait : « Dis donc t’es bonne toi ». Le technicien lumière âgé de 33 ans aurait alors rétorqué avec ironie : « Je suis bonne, mais que le dimanche ».
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
"J’en peux plus d'attendre" : surprise, à quelques jours de la sortie de son album, Marine (Star Academy) fait une grosse annonce à ses fans
-
Star à domicile : l'émission culte bientôt de retour, découvrez les stars qu’on pourrait voir dans le programme !
-
Mort d’Agathe : les experts sont convaincus que la jeune femme a été assassinée, tous les détails !
-
"Ils avaient déjà…" : Nathalie Andreani persuadée que Brigitte et Emmanuel Macron lui doivent quelque chose
-
"Un tournant..." : après son procès, Rym Renom brise le silence !
-
"Quelle honte" : Sarah Fraisou devient la risée des internautes après cette vidéo d'elle à la Fête de la musique !
-
Marseille : les voisins appellent les secours à cause de l'odeur, le fils gardait avec lui sa mère morte depuis dix jours...
-
Jazz Correia : l'influenceuse devient la risée des internautes après cette vidéo , regardez !
-
Secret Story : la chaîne sur le point d'arrêter le programme ? Les nouvelles infos !
-
Il avale une brosse à dent : un homme opéré en urgence 52 ans après !
Ce à quoi Slimane aurait répondu en s’approchant : « Je m’en fous, on est samedi soir ». Le Parisien détaille en citant la plainte : « Le chanteur place alors son sexe en érection entre ses fesses et s’apprête à mettre la main sur le sexe du technicien lorsque le frère de Slimane lui saisit la main pour l’arrêter ». Et face aux témoins, qui pour quelques-uns filmaient cette scène, le frère de l’artiste aurait exigé de « supprimer toutes les vidéos de ce qui s’est passé », en ajoutant : « Je ne veux rien voir ». Affaire à suivre.