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Coronavirus : un premier vaccin est sorti et va être testé à Seattle aux Etats-Unis

par Khaoula Belkacemi

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Coronavirus : un premier vaccin est sorti est va être testé à Seattle aux Etas Unis

Coronavirus : La course au vaccin est entamé ! Chaque pays fait appel à tous ses scientifiques afin de pouvoir mettre en place un traitement afin de combattre la pandémie qui est en cours. Et aujourd’hui, les États Unis ont une longueur d’avance!

Seattle annonce les premiers tests d’un nouveau vaccin contre le virus

C’est à Seattle, la ville la plus touchée des États Unis par le virus Covid-19, que les recherches pour un vaccin vont bon train. En un temps record de deux mois, les scientifiques ont réussi à développer un vaccin test contre le Covid-19.

La compagnie de biotechnologie  basée à Cambridge a donc lancé ce lundi 16 mars la première phase de l’essai de ce vaccin. Il faut comprendre que cela ne veut pas dire que le vaccin va être directement mis en vente. Il faudra passer par plusieurs phases de tests avant de lancer la mise en marché du produit.

Nous vous avions d’ailleurs parlé dans un article précédant des nouvelles mesures prises par le président Emmanuel Macron en ces temps difficiles. 

Cela faisait déjà un moment que la compagnie, nommée Moderna thérapeutics se spécialisait dans la recherche sur différents types de Corona. Après la publication du code génétique du Covid-19, ils ont réussi à créer un vaccin sur ordinateur. Et les tests ont commencé ce lundi.

 

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Un vaccin testé aux États Unis par Moderna Thérapeutics

Selon le PDG Français de la compagnie, il ne faut pas sauter de joie très vite. Il faut savoir que cela peut prendre jusqu’à un an au moins avant que le vaccin ne puisse être commercialisé et utilisé sur des personnes normales. Il dit d’ailleurs : « 12 à 18 mois serait un record mondial de plusieurs années. Chaque jour, chaque heure compte. »

Financé par l’État américain, l’idée est de le tester sur des volontaires d’abord. Ils sont 45 et cela va durer environs 6 semaines. Si les résultats sont assez positifs, la deuxième phase sera de les tester sur le personnel hospitalier. « Ce qu’on essaie de faire, c’est de mettre le vaccin disponible pour le corps médical qui assume une tâche extraordinaire et qu’on veut protéger parce qu’il est énormément exposé au virus, souvent manque de matériel médical pour se protéger. On espère que le corps soignant, s’il le désire, puisse participer à ces études. »

 

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