La nouvelle version du générique de la Star Academy se fait massacrer sur les réseaux

Tout commence dès le lancement des quotidiennes, quelques jours après le prime d’ouverture. Sur le générique censé présenter les 17 élèves, seule 16 apparaissent. Léane, pourtant bel et bien intégrée à la promotion 2025, a tout simplement disparu du montage final. Devant l’ampleur des réactions, TF1 présente des excuses officielles, évoquant un « problème technique » et corrige l’erreur quelques heures plus tard.
On aurait pu penser l’incident clos. Mais les internautes, déjà peu convaincus par l’esthétique du montage générique jugé “cheap”, “amateur”, “inconfortable à regarder”, demandaient une refonte totale. Et ils ont été entendus.

Un nouveau générique dévoilé… et immédiatement étrillé

Dimanche 26 octobre, TF1 dévoile un générique intégralement repensé. Les photos figées sur fond de papier peint disparaissent au profit de plans tournés dans l’allée du château. Les élèves rient, se portent, se prennent dans les bras, sortent en groupe, concluant sur une “photo de classe” à l’extérieur du chateau. L’objectif est clair : raconter une cohésion, une énergie collective, une ambiance de promo soudée. Sauf qu'à peine diffusé les critiques repartent de plus belle. Cette fois, les téléspectateurs reprochent une autre absence : celle des prénoms des élèves.
Les messages affluent sur X :

Un troisième générique en vue ?

Jean-Louis Blot, patron d’Endemol France, avait prévenu dès vendredi sur Europe 1 : « On va peut-être le retravailler. » Si ce deuxième essai ne convainc pas, la question d’un troisième remaniement n’est plus théorique. Une refonte précipitée reste toutefois risquée : à force de corriger sous pression, l’émission donne l’impression d’avancer à tâtons, au détriment de son prestige.
Ce débat pourrait sembler anecdotique, s’il ne révélait pas une donnée essentielle : la Star Academy est désormais scrutée seconde par seconde par une communauté ultra-réactive. Une semaine après le lancement, un simple générique déclenche déjà deux vagues de critiques publiques. Et la saison ne fait que commencer. Un symbole, peut-être, de ce qui attend TF1 : dans cette édition 2025.

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