Franck Fanich (Familles nombreuses) : il aborde pour la 1ère fois un événement de son passé
Dans Familles nombreuses, Franck Fanich se confie pour la première fois sur son passé scolaire douloureux, expliquant les blessures qui influencent encore sa vie de père.
Résumé de l'article
Franck Fanich, père de neuf enfants connu grâce à une émission familiale, partage pour la première fois un douloureux passé scolaire qui influence encore son rôle de parent.
Discret à l’écran comme sur les réseaux sociaux, Franck Fanich, connu grâce à l’émission Familles nombreuses, la vie en XXL, se distingue souvent par sa réserve face à l’énergie débordante de son épouse, Emilie. Mais récemment, le père de neuf enfants a surpris ses abonnés en évoquant un épisode douloureux de son enfance qu’il n’avait encore jamais partagé.
Dans une story publiée le 10 novembre 2025 sur Instagram, celui que l’on voit rarement s’épancher s’est ainsi confié avec sincérité. Derrière le sourire et la complicité familiale, il cache un passé marqué par la souffrance scolaire. Cette révélation rare a touché de nombreux internautes, bouleversés par la fragilité que laisse transparaître l’un des papas les plus suivis du programme de TF1.
Un rapport difficile à l’école qui trouve racine dans l’enfance
Franck et Emilie Fanich élèvent ensemble leurs neuf enfants Niya, Maïly, Edène, Naële, Eïmi, Mjih, Ali, Ava et Mahë. Ils partagent souvent leur quotidien sur les réseaux. Si la scolarité de la fratrie semble parfaitement gérée, le père de famille admet pourtant garder ses distances. "Je ne m’y colle jamais. J’ai un problème avec ça, je n’y arrive pas", confie-t-il. Une phrase qui en dit long sur la douleur encore vive qu’il associe à cette période. Selon lui, ce blocage s’explique par une peur persistante. "J’ai peur de manquer d’attention, j’ai peur de montrer au professeur que je ne suis peut-être pas réceptif à ce qu’il va me dire parce que j’ai un problème avec l’école".
Ces craintes trouvent leur origine dans une enfance instable, marquée par de nombreux déménagements et des changements d’établissement constants. "J’ai tellement changé d’école. À toutes les rentrées scolaires, j’étais toujours le petit nouveau", raconte-t-il. Ce sentiment d’exclusion, ajouté à la difficulté de se faire des amis, a profondément affecté son rapport à l’institution. "Je garde une très mauvaise image de l’école. J’étais obligé de faire mes preuves, je n’avais jamais les mêmes copains... J’ai des souvenirs vraiment atroces". Aujourd’hui encore, ces blessures anciennes continuent d’influencer sa vie de père.
Des souvenirs douloureux qui laissent des traces
Dans sa confession, Franck Fanich évoque également les traumatismes plus profonds vécus durant sa scolarité. Sans tout révéler, il admet avoir connu des situations injustes et pénibles. "J’ai trop de mauvais souvenirs qui me hantent. Même quand je rentre dans une école pour la rentrée scolaire par exemple, je ne me sens pas bien", explique-t-il avec émotion. Il ajoute : "J’ai vécu de mauvaises choses que je n’ai pas envie de citer ici. Des choses qu’un enfant ne devrait pas subir à l’école, tout simplement". Ces mots traduisent un mal-être encore présent, que le père de famille tente de surmonter pour le bien de ses enfants.
Conscient de ses limites, il reconnaît avec regret que cette peur l’empêche d’être pleinement impliqué dans la vie scolaire de sa tribu. "Les professeurs ne me voient pratiquement jamais", admet-il. Une situation qu’il vit difficilement : "Je culpabilise de ne pas être un père assez présent pour leur scolarité. J’avoue que ça me rend quand même triste. Car le passé me pèse trop sur la conscience". En se confiant ainsi, Franck Fanich brise un tabou personnel. De fait, il montre qu’au-delà de la notoriété et du quotidien bien rempli, certaines blessures d’enfance continuent à façonner les adultes d’aujourd’hui.