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Baptiste Giabiconi se livre sur sa relation particulière avec Karl Lagerfeld

par Samantha Martins

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Baptiste Giabiconi : on vous expliquait pourquoi Karl Lagerfeld portait toujours ses lunettes noires. Six mois, jour pour jour après la mort du grand couturier de la maison Chanel, son petit protégé Baptiste Giabiconi éprouve toujours de la difficulté à faire son deuil. Il se confie dans Têtu.

« Karl était possessif »

Le 29 février 2019, le monde de la haute couture était bouleversé par la mort de Karl Lagerferld. Âgé de 85 ans, l’homme s’est éteint des suites d’un cancer du pancréas. Nombreuses sont les personnalités qui lui ont rendu hommage, à l’instar d’Afida Turner mais surtout de Baptiste Giabiconi, la muse du couturier. C’est à Karl que le beaugosse doit sa carrière de mannequin. Très proche du Kaiser, il lui avait rendu un hommage bouleversant sur son compte Instagram.

« Karl, Mon ange Gardien, depuis notre rencontre tu as été mon guide, que serais-je devenu sans toi ? Je pense à tous ces gens qui ont croisé ton chemin et que tu as marqués à jamais. (…) Moi qui avait tout à découvrir, tu m’as tendu la main et tu ne l’as jamais lâchée. Je mesure la chance d’avoir tant appris à tes cotés, toi, si cultivé, si brillant, un être à part. Merci, merci d’avoir été là pour moi, pour nous. Aujourd’hui je perds une partie de moi, un pygmalion, un père, un repère, un pan de ma vie s’envole avec toi. Tu resteras à jamais dans mon cœur »

Six mois après sa disparition, le jeune homme a encore du mal à faire son deuil… Dans les colonnes de Têtu, le jeune homme revient sur la relation particulière qu’il a entretenue avec Karl. « Karl était possessif, mais de manière bienveillante et protectrice. Pas comme une petite amie jalouse. Avant lui, personne n’avait jamais posé le regard sur moi » explique-t-il.

Il explique que les deux hommes partageaient un amour solide, unique. « On s’aimait. Profondément. D’un amour qui n’existe pas, qu’on s’est créé. » Le choc était d’autant plus violent que le couturier n’avait jamais évoqué sa maladie. « Par respect pour lui, même si de rares signes trahissaient son état de santé, je n’abordais pas le sujet et faisais comme si de rien n’était. Il ne parlait pas de la maladie ni de la mort, et encore moins de l’après. » En tout cas, on peut toujours sentir l’amour et l’admiration de Baptiste pour l’artiste à travers ses mots…

Passionnée d'écriture et de l'univers du digital, je me suis formée à la rédaction web. Désormais je décrypte quotidiennement le monde fou de l'influence, pour votre plus grand plaisir.

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