Mort de Naomi : l’opératrice se confie
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Suspendue pour la durée de l’enquête préliminaire pour « non-assistance à personne en péril », l’opératrice n’avait jusque-là pas accepter de s’exprimer.
Mais, contactée via un de ses collègues, elle a répondu aux questions de « 66 Minutes ». Ainsi, la cinquantenaire se dit « effondrée. »
Elle confie alors : « Je suis lynchée sur la place publique, je pense que si les gens connaissaient mon visage et mon nom je ne serai plus de ce monde… Je suis à la maison, mais j’ai eu des collègues qui ont eu des menaces. »
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Mais, ce n’est pas tout ! Car, elle explique aussi que les équipes du SAMU qui interviennent sur le terrain peuvent se faire « caillasser ou autre… »
Face aux interrogations des Français, l’opératrice a dû revenir sur son comportement lors de l’appel de Naomi. Soutenue par les syndicats, elle a tout de même tenu à clarifier la situation : « Ça suffit de porter toujours le chapeau sur le système… On est sous pression. On travaille douze heures d’affilée. Ce sont des conditions de travail qui sont pénibles. Je peux rester deux ou trois heures accrochée à mon téléphone, parce que je n’ai pas le temps de me lever tellement ça déborde de partout. Quand on passe en procédure dégradée parce qu’il y a beaucoup plus d’appels que de monde censé les gérer, on n’y arrive pas ! »
Seulement, voilà… C’est ensuite le directeur des hôpitaux universitaires de Strasbourg, Christophe Gautier, qui prend la parole. Il explique ainsi que le 29 décembre était une journée ordinaire.
On apprend ainsi qu’elle revenait de 15 jours de vacances et avait commencé sa journée à 7h30. L’appel avait eu lieu en fin de matinée, à 11h30.
Il clarifie alors : « Ce jour-là, les conditions n’étaient pas exceptionnelles. Cette opératrice en était à son deuxième jour de travail. Nous sommes bien sur l’hypothèse d’une faute individuelle. »
Toutes nos pensées vont vers les proches de Naomi…