Marc et Nadé, au coeur d’une affaire d’ar.naque ?
Depuis le début de son combat, Booba a créé un mouvement sur les réseaux sociaux contre les arnaques d’influenceur. Le célèbre rappeur mène depuis des mois un combat sans merci à tous ceux qu’il appelle « les influvoleurs. » Et c’est dans les colonnes de Libération que le Dub de Boulogne s’était confié sur cette croisade.
« C’est la découverte de leurs arnaques massives qui m’a révolté. À la base, je ne connais pas ces gens. Ils ne m’intéressent pas, et leurs émissions me donnent envie de vomir à chaque fois que je les vois à la télé. Mais un jour, l’un d’eux, Marc Blata, est parti en croisade contre moi pour une histoire de fausse montre qu’on m’avait prêtée« , avait-il déclaré. Puis de poursuivre : « Plus je l’allumais, plus j’explorais le monde des influenceurs. J’ai découvert le rôle de leur pseudo manageuse, Magali Berdah, la reine de la futilité. Ça m’a donné envie de creuser pour comprendre. Comprendre pourquoi des milliers d’internautes les accusent d’escroquerie« . Explique-t’il.
Le couple, accusé d’escroquerie en bande organisée
Et si sa cible principale semble être Magali Berdah, le reste des influenceurs ne sont pas en reste. Et notamment un qui fait beaucoup parler ces derniers temps : Marc Blata. En effet, ce dernier est visé par une enquête pour escroquerie lancée par un collectif qui regrouperait plusieurs centaines de v.ctimes potentielles. Invité pour répondre aux questions de Sept à Huit, le couple Blata s’est confié mais peine à convaincre sur la Toile.
« »Copier, coller, encaisser », le slogan du couple a incité certains de leurs millions d’abonnés à se lancer dans une forme de trading en apparence facile et rémunérateur. Le principe est simple : depuis l’application Telegram, Marc et Nadé guident l’internaute pour qu’il place de l’argent sur une plateforme de trading. Le montant, 500 euros au minimum. Celui-ci reçoit ensuite des « signaux », les ordres d’un trader professionnel recommandé par le couple. Parfois, une dizaine par jour. Il suffit de copier le plus rapidement possible les mouvements du trader professionnel, en investissant sur la plateforme. » Expliquent nos confrères de TF1.
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Axel en froid avec Pierre Garnier et Héléna ? Cette initiative qui ne laisserait aucun doute sur l'état de leurs relations...
-
Brigitte Macron en deuil : sa sœur Anne-Marie est morte à 93 ans
-
Lily Phillips : 1113 hommes en 12 heures, elle assure avoir battu le record de sexe de Bonnie Blue !
-
Mort de Thierry Ardisson : "qu’on l’aime ou pas…", Cyril Hanouna lui rend un hommage pour le moins surprenant
-
Kylian Mbappé : il retire sa plainte pour harcèlement moral et tentative d'extorsion contre le PSG mais réclame toujours 55 millions d'euros !
-
Il traîne son chien mort derrière sa voiture sur plusieurs kilomètres, des internautes le retrouvent et brûlent sa maison !
-
"Un endroit loufoque" : Cédric Jubillar a indiqué le lieu où repose le corps de Delphine selon un personnage-clé
-
"Rien ne t'efface" : la veuve de Mouss Diouf lui rend un vibrant hommage 13 ans après sa disparition
-
TPMP : une ex-chroniqueuse victime d’une violente agression, les images sont choquantes !
-
"Sous le choc" : Rym Renom condamnée, découvrez le verdict!
Marc et Nadé Blata s’expliquent chez Sept à Huit
Avant de détailler : « Pourtant, selon l’Autorité des marchés financiers (AMF), neuf particuliers sur dix perdent de l’argent sur ces plateformes de trading, en moyenne 11.000 euros. Les seuls qui gagnent à tous les coups, ce sont les Blata. La plateforme de trading leur verse une commission, entre 500 et 800 euros, pour chaque client qu’ils rabattent. »
Mais il faut dire que Marc et Nadé semblent sereins en affirmant : « On les a prévenus sur nos réseaux, dans un premier temps. Ensuite, quand ils rentrent sur le canal Telegram, on a un disclaimer (en français, « clause de non-responsabilité », ndlr), qui rappelle que lorsqu’on rentre sur les marchés financiers, quels qu’ils soient, cela comporte des risques. » Selon la mère de famille, les suspicions d’escroquerie seraient infondées : « Je n’habite pas en France, et je ne parle pas qu’à des Français. On s’adresse en français à des francophones notamment qui vivent ici aux Émirats, qui vivent au Maghreb, partout en fait » explique-t’elle ensuite.