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Le Havre : le corps atrocement mutilé d’un docker découvert

par Samantha Martins

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Crédit photo : "Un œil crevé, un téton arraché..."

Le Havre : vendredi 12 juin, un des agents communal de Montivilliers, au nord du Havre a découvert le corps sans vie et mutilé d’un docker de 40 ans. L’homme se trouvait sur un parking à proximité d’une école.

Le Havre : un docker enlevé puis assassiné

La victime a vraisemblablement vécu un calvaire. Paris Normandie a dévoilé que vendredi 12 juin dernier, le corps sans vie d’un père de famille a été retrouvé sur un parking près d’une école de Montivilliers. Le cadavre a été découvert par un agent communal qui travaillait dans l’établissement scolaire. Les élèves quant à eux ont été invités à rester chez eux par la commune.

Le docker de 40 ans aurait été enlevé dans la nuit du 11 au 12 juin alors qu’il se trouvait chez lui, dans un village situé entre Saint-Romain de Colbosc et Gruchet-le-Valasse. C’est son épouse qui a alerté les forces de l’ordre de sa disparition, déployant rapidement un dispositif pour tenter de le retrouver.

À la même période, le corps d’une étudiante a été retrouvé dans sa chambre au sein de la résidence universitaire de Saint-Étienne. La jeune femme a été retrouvée seulement 10 jours après son décès. Son corps était allongé sur son lit, découvert par des ouvriers venus pour changer les volets du campus Tréfilerie.

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Le docker de 40 a été mutilé

Après la découverte du corps du docker havrais au petit matin, un périmètre de sécurité a rapidement été mis en place. Ainsi, la victime a pu être identifiée. Docker, délégué du personnel, il est d’ailleurs connu des services de polices. En effet, d’après Paris Normandie, le docker était mis en examen suite à une saisie de plus d’une tonne de cocaïne dans le port du Havre. Malgré tout, il était toujours présumé innocent à ce stade de l’instruction.

D’après les premières constatations, il semblerait que la victime ait vécu un véritable calvaire. Elle aurait été torturée. Une source proche a notamment confié à Paris Normandie que le docker avait « un œil crevé, un téton arraché et avait un chiffon, imbibé d’essence ou de produit inflammable, enfoncé dans la bouche. »

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Passionnée d'écriture et de l'univers du digital, je me suis formée à la rédaction web. Désormais je décrypte quotidiennement le monde fou de l'influence, pour votre plus grand plaisir.

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