Jean Pierre Pernaut : Attaqué à l’écran par l’équipe de TPMP après son gros coup de gueule

Jean Pierre Pernaut lance un gros coup de gueule durant le Journal de 13 heures

Ce vendredi 24 Avril, Jean Pierre Pernaut a lancé un message fort au gouvernement. Le présentateur a commencé son journal de 13h ce jour là par un tacle fort quant aux décisions du gouvernement pour le déconfinement. à venir. Il commence alors par une anecdote : « Dans une ville à côté de chez moi, un monde fou sur les trottoirs, des adultes, des enfants qui jouent, plein de monde, sans masque et sans contrôle. »

Avant de continuer : « Quel contraste avec les reportages où l’on nous montre des PV infligés à des gens qui se promènent tout seuls sur une plage, à la montagne et en forêt alors qu’il n’y a aucun risque dans les régions où il n’y a pas de virus. Tout cela paraît incohérent ». 

Selon le présentateur, les décisions prises n’auraient aucun sens et se contrediraient l’une l’autre et personne ne comprend plus rien à ce qui se passe.

Mais l’équipe à baba n’a pas raté l’occasion de donner son avis sur cette prise de position très tranchée en plein journal de 13 heures.

 

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L’équipe de TPMP attaque Jean Pierre Pernaut sur son comportement

Chez TPMP, le coup de gueule du présentateur a bien été remarqué. Mais celui que l’on voyait surpris par les photos de sa fille  n’a pas vraiment été applaudi par les chroniqueurs. 

Benjamin Castaldi a pris la parole et a montré son mécontentement envers le journaliste. Selon lui, son rôle ne serait pas de donner son avis, et s’il est bien éditorialiste, sur le plateau de tournage il est présentateur et doit s’y tenir. Il lançait : « Pour moi, son avis il le garde pour lui, et sinon, il fait des tribunes, il est éditorialiste, mais là il est présentateur, il présente un journal ! Il enfonce des portes ouvertes ! »

Valérie Benaïm continue ensuite : « Benjamin Castaldi a raison, ce qu’il a fait (Jean-Pierre Pernaut) est le rôle d’un éditorialiste ». Avant de conclure : « On lui demande d’être factuel, de dire ce qui va et ce qui ne va pas, mais on ne lui demande pas son point de vue, c’est pas le lieu ».

 

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