Un couple remplit une attestation pour une raison particulière
Depuis le 18 mars, Emmanuel Macron a annoncé
le confinement de la population française afin de lutter contre
la propagation du Covid-19. Certaines sorties sont
possibles mais encore doivent-elles être justifiées.
Ainsi, il ne faut sortir que : pour s’alimenter,
pour des motifs familiaux impérieux, pour des motifs
sanitaires
. Des nouvelles règles que les français doivent
obligatoirement respecter. Pour sortir, il suffit de remplir une
attention que vous pouvez également
télécharger sur votre téléphone.
Mais certains, évidemment, dérogent à la règle sans scrupule ! Parfois, les forces de l’ordre surprennent même certains citoyens dans des situations plutôt inattendues. Ainsi, fin mars, en Haute-Garonne, un couple de trentenaire avait écopé de deux amendes de 135 euros. La raison ? Ils avaient été surpris, dénudés, dans une base de loisirs située à Muret, près de Toulouse.
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Cette fois, un couple a rempli une attestation pour sortir. Le motif coché sur celle-ci était alors : « exercices sportifs ». Cependant, lorsque les gendarmes se sont approchés de leur véhicule ce n’est pas du sport qu’ils étaient en train de pratiquer. En tout cas pas au sens stricte du terme ! La scène s’est passée dans le bois de Lucelans, situé dans le Doubs, en Bourgogne Franche-Comté.
Le couple a été surpris en plein ébats sexuels. Ils ont tout de même présenté leur attestation remplie en bonne et due forme, comme l’imposent les mesures gouvernementales. Mais les gendarmes n’ont pas jugé cette sortie comme étant nécessaire ou vitale ! Alors, ils ont bien évidemment écopé de 135 euros d’amende chacun, rapportent nos confrères de l’Est républicain. La jeune femme avait quant à elle coché « Achats de première nécessité ». À noter : en cas de récidive ils pourront avoir une amende de 1.500 euros. Et, dans le cas de « quatre violations dans les 30 jours », la peine est portée à « 3 700 euros d’amende et six mois de prison au maximum ».
On vous racontait récemment qu’Anaïs Camizuli avait confié que, dans ce contexte, les forces de l’ordre avaient malmené ses proches.
