Individualité et égoïsme : sale ambiance à la Star Academy
Alors que les destins des académiciens ont été liés pour la première fois cette saison, la tension est montée d’un cran au château de Dammarie-les-Lys. Entre rivalités, fatigue et manque d’investissement, les esprits s’échauffent.
Résumé de l'article
La compétition à la Star Academy 2025 exacerbe les tensions entre individualité et esprit d'équipe, fragilisant la cohésion au sein des groupes avant le prime décisif.
L’atmosphère se tend au château de la Star Academy 2025. Alors que la compétition s’intensifie, les liens entre les académiciens se fissurent, révélant les tensions entre individualité et esprit d’équipe. Cette semaine, Michael Goldman a décidé de lier les destins des élèves en formant trois groupes : les Jaunes, les Bleus et les Roses. Une initiative censée renforcer la cohésion, mais qui semble avoir eu l’effet inverse.
Si les Jaunes (Victor, Lily, Léa, Ema et Bastiaan) ont réussi à se hisser en tête et à s’assurer une place tranquille jusqu’au prime du vendredi, les Bleus et les Roses, eux, n’ont pas cette chance. Dix académiciens sont désormais en danger, contraints de se serrer les coudes pour espérer éviter le ballottage. Mais chez les Bleus, la solidarité n’est pas au rendez-vous.
Sarah face au laxisme du groupe
Reconnue pour son sérieux et son exigence, Sarah a rapidement perdu patience face au manque d’implication de ses camarades. Mercredi 5 novembre, elle a tenté de mobiliser Ambre, Léo, Mélissa et Noah :
C’est pas cool parce qu’on n’est pas une équipe, là. C’est pas ok d’aller réviser à deux ici, à trois là-bas.
Pour elle, l’unité du groupe est la clé du succès, surtout à ce stade du concours. Mais entre fatigue, rivalités et ego, l’entente semble difficile à maintenir. Face à cette remontrance, les Bleus ont finalement consenti à se réunir pour répéter leur chorégraphie sur Pump It des Black Eyed Peas. Noah, conscient de ses lacunes en danse, a reconnu les efforts de Sarah :
L’aide de Sarah m’est vraiment utile et je la vois comme de la bienveillance. C’est la définition de vouloir que le groupe marche.
Des mots encourageants, mais la réalité du château reste marquée par les clans et les susceptibilités.
Michael Goldman hausse le ton : la compétition reprend ses droits
Conscient des tensions, Michael Goldman n’a pas manqué de rappeler l’enjeu de la semaine : un groupe sera sauvé par le public, tandis que les autres devront s’affronter individuellement. De quoi faire grimper la pression et transformer l’amitié en compétition féroce.
À mesure que le prime approche, les masques tombent et la tension monte. Entre ambitions personnelles et travail collectif, les académiciens marchent sur un fil. Si certains, comme Sarah, incarnent la rigueur et la détermination, d’autres peinent à suivre le rythme. Et dans cette aventure où la moindre erreur peut être fatale, une chose est sûre : au château de Dammarie-les-Lys, la musique n’adoucit pas toujours les mœurs.
