Léna Guillou : elle brise enfin le silence sur sa relation toxique avec Adil Rami
Dans des confessions poignantes, Léna Guillou raconte l'enfer qu’elle a vécu avec son ex Adil Rami. Tous les détails.
Résumé de l'article
Léna Guillou raconte son combat contre une relation destructrice et ses souffrances profondes, dévoilant un parcours douloureux marqué par l'isolement et la résilience.
Le témoignage de Léna Guillou continue de faire trembler les réseaux sociaux. En septembre dernier, l'ex-candidate des Marseillais à Dubaï avait bouleversé ses abonnés en révélant avoir tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 21 au 22 juillet 2025. Derrière l'image souriante qu'elle affichait publiquement, l'influenceuse cachait en réalité une profonde détresse.
Révélée en 2021 dans la télé-réalité, c'est aussi sa relation tumultueuse avec le footballeur champion du monde 2018 Adil Rami qui l'a propulsée sous les projecteurs. Après deux années d'une histoire médiatisée, le couple s'est séparé en 2023, laissant Léna dans un état psychologique fragile dont elle peine encore à se remettre.
Une spirale infernale qui l'a poussée au bord du gouffre
Dès décembre 2024, Léna Guillou laissait entrevoir son mal-être. À l'annonce de la participation d'Adil Rami à Danse avec les stars, elle avait publiquement exprimé sa colère : "Je vis hyper mal le fait qu'on continue d'aduler un psychopathe." Des mots durs qui témoignaient déjà d'une souffrance intense. Elle dénonçait alors l'indifférence générale face aux victimes : "Tu te sens comme une m*rde, comme si tes souffrances ne valaient rien." L'influenceuse décrivait une relation marquée par l'emprise et la peur, se sentant abandonnée par un système qui minimisait ses blessures émotionnelles. Mais c'est en septembre que Léna a franchi un cap en révélant l'irréparable. Dans une publication déchirante, elle a confié avoir voulu "taire toutes ses pensées" durant la nuit du 21 au 22 juillet.
"Je suis la meilleure actrice pour montrer que tout va bien depuis des années", écrivait-elle. Insomnies, surcharge mentale, isolement : l'accumulation de souffrances l'avait poussée à envisager le pire. "D'une manière très lâche je vous l'accorde, mais je voulais que ça s'arrête", admettait-elle avec une lucidité glaçante. Au-delà de cet acte désespéré, Léna évoquait un acharnement constant : trahisons, dettes, absence totale de soutien. "Je suis seule à tout affronter depuis des années et pour autant je ne laisse personne pouvoir être triste", confiait-elle. Elle racontait même avoir écrit aux autorités françaises pour expliquer sa détresse et ses idées noires, sans jamais recevoir de réponse.
Léna Guillou fait de nouvelles révélations accablantes sur son passé
Et Léna Guillou est allée encore plus loin dans ses confessions. Elle a d'abord pointé du doigt Magali Berdah, révélant avoir vécu une période extrêmement compliquée à cause d'elle. Selon Léna, l'agente lui devait un an de salaire. Pendant des mois, elle aurait couru après elle, la relançant sans cesse, insistant en vain. "J'étais à découvert au point d'être en interdit bancaire", raconte-t-elle, décrivant une situation financière catastrophique qui s'ajoutait à son mal-être psychologique. Mais le pire restait à venir. "Pendant que ma vie professionnelle s'écroulait, je vivais une relation qui me détruisait littéralement", confie-t-elle. L'influenceuse décrit alors une relation faite de "montagnes russes émotionnelles" : "Un jour des moments idylliques, presque parfaits, et le lendemain sans prévenir, l'enfer émotionnel." Elle dresse ensuite un tableau glaçant de cette relation toxique : "Manipulation constante, agressivité, humiliation sous couvert d'humour, remarques blessantes, contrôle." Puis viennent des paroles encore plus fortes, qui glacent le sang : "Il aimait voir la peur dans mes yeux. Il aimait sentir que j'étais fragile, dépendante, instable."
Léna évoque ensuite une partie encore plus grave de cette histoire : "Et dans cette relation il y a eu aussi des gestes physiques, des moments de violences psychologiques, verbales, des moments où j'ai eu peur." Mais la manipulation ne s'arrêtait pas là. Elle raconte qu'il avait pris son téléphone et filmé des vidéos compromettantes pour la faire taire, une forme de chantage insidieux. "C'était une manière de me tenir, de m'emprisonner, de me réduire au silence", explique-t-elle. Elle évoque également sa solitude durant cette période noire : "Personne n'a réellement tendu la main." Seule face à une accumulation de problèmes, elle a dû affronter l'enfer sans soutien véritable. Mais l'influenceuse conclut sur une note résolument positive, preuve de sa force intérieure : "Et pourtant je suis encore là. Pas intacte, pas indemne, mais debout." Elle ajoute avec détermination : "Je suis en reconstruction. Et je n'ai plus peur de ma propre vérité."
