Ces derniers mois, le milieu de l’influence a été secoué par la mise en place de nouvelles lois visant à le réguler. Au début du mois de mai, le ministre de l’économie Bruno Le Maire promettait de taper fort en assurant vouloir dévoiler les identités des « influvoleurs ». Et la menace n’a pas mis longtemps à être appliquée.
Les influenceurs, sous le feu des projecteurs
Ce vendredi 2 juin, le monde de l’influence a été frappé de plein fouet par Bercy. Sur le site du gouvernement, on retrouve ainsi épinglés de nombreux influenceurs pour “pratiques commerciales trompeuses”. Parmi eux Illan Castronovo, Capucine Anav ou encore Simon Castaldi. Ainsi, en citant ces noms, le gouvernement espère enfin pouvoir réguler le secteur à la suite de l’adoption de cette loi décisive.
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Ces derniers se retrouvent dans l’obligation de poster des messages rédigés par la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) pour les “rappeler à l’ordre” et “inviter leurs abonnés à la vigilance”. On peut ainsi lire que Simon Castaldi n’indique pas “l’intention commerciale de ses publications, […] ni les marques pour lesquelles il réalise ces communications”.
Simon Catsaldi, épinglé par la DGCCRF
Âgé de 23 ans, le fils de Benjamin Castaldi, qui s’était fait connaître dans Les Princes et Princesses de l’Amour sur W9 en 2021, a souhaité prendre la parole pour se défendre sur le plateau de BFMTV. Questionné par les journalistes, celui qui s’en est pris à Booba assure qu’il y aurait un “amalgame » sur les réseaux sociaux entre les influenceurs et ceux qu’ils accusent d’être des « influvoleurs. » Il dénonce une diabolisation, mais surtout une erreur de cible. Il se dit aujourd’hui « dépassé” par les évènements, même s’il pense que ces mesures sont une bonne chose dans le fond.
En parlant d’Illan Castronovo et ceux cités par le gouvernement, il déclare :
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“Je ne suis pas de ceux-là”
Une façon explicite de se dédouaner de ces pratiques frauduleuses dont il ne reconnaît pas être à l’origine. Il va plus loin en affirmant avoir seulement “oublié le hashtag #sponsorisé” et n’avoir donc jamais volé sa communauté, contrairement à d’autres qu’il ne cite pas ouvertement.
Affaire à suivre donc ! Toujours est-il que dans les prochaines semaines, son compte Instagram aux plus de 300 000 abonnés ressemblera grandement à celui de la répression des fraudes.
Pratiques frauduleuses: "Pour moi, je ne suis pas influenceur", se défend Simon Castaldi pic.twitter.com/g2xwlTFpk0
— BFMTV (@BFMTV) June 2, 2023