Présidentielle 2022 : l’appel au vote de Nabilla très mal perçu, elle réplique

Nabilla Vergara : elle invite ses abonnés à voter aux Présidentielles 2022

Dimanche 10 avril prochain, les Français iront voter pour le 1er tour des élections présidentielles de 2022. Sur ses réseaux sociaux, l’influenceuse Nabilla a cru bon de partagé un message à l’attention des internautes : « Dimanche 10 avril : 1er tour des élections. Allez voter c’est important de vous faire entendre ! » a-t-elle écrit.

Malheureusement, son commentaire a été jugé malvenu par plusieurs internautes qui lui reprochent d’être partie s’installer à Dubaï avec sa petite famille. « L’autre elle quitte la France pour pas assumer ses responsabilités c’est ça vient nous dire de voter ! De plus en plus hallucinants ces influenceurs!! Ben non Nabilla ne votera pas elle n’est pas résidente française elle est résidente dubaïote… », « Des gens qui vivent à Dubaï et donnent des leçons j’adore« , a-t-on pu lire.

Une partie des internautes a malgré tout tenu à défendre l’influenceuse. Mais cette dernière nous prouve une fois de plus qu’elle est assez grande pour se défendre toute seule. En réponse aux réactions négatives Nabilla Vergara a mis les points sur les i.

Nabilla Vergara critiquée pour son appel aux votes, elle calme les internautes

Toujours sur Twitter, celle qui attendrait une petite fille a expliqué : « Le problème n’est pas d’habiter à l’étranger j’ai vécu en France jusqu’à mes 12 ans ensuite j’ai habité la Suisse avec mes parents pour leur travail respectif puis l’Angleterre puis les Emirats. Mon but étant de sensibiliser mon audience à le faire !« 

D’ailleurs, en novembre dernier, la candidate taclée par le coiffeur de Jazz avait expliqué sur le plateau de Quotidien pourquoi elle ne voterait pas aux Présidentielles 2022. « Je votais avant, mais maintenant, je pars du principe que je n’habite pas dans le pays donc pourquoi je devrais donner mon avis sur un truc qui ne me concerne peut-être pas moi ? » Sans parler du fait que, face à Yann Bathès, la jeune femme accusée de faire appel à une mère porteuse avouait ne pas être trop à l’aise avec la politique. « En fait, la politique, c’est quelque chose… Pas qui me fait peur, mais prendre parti pour quelqu’un, c’est un peu compliqué ».