Nabilla : son fils Milann conduit aux urgences dans la nuit, elle s’exprime

Milan ne respire plus : Nabilla l’emmène en urgence à l’hôpital

Dernièrement, Nabilla Vergara a eu très peur. Enceinte de son deuxième enfant prévu pour le mois de juin, la jeune femme a ressenti de violentes contractions. Effrayée à l’idée d’accoucher prématurément, la femme de Thomas s’est rendue chez sa gynécologue pour être rassurée.

Mais l’influenceuse n’était pas au bout de ses peines. Quelque temps après, Nabilla Vergara ne sentait plus son bébé bouger. En panique, les futurs parents sont allés à l’hôpital. Une fois de plus, plus de peur que de mal puisque le bébé des Vergara se porte très bien. « Gros stress alors que tout allait bien », écrivait-elle sur Snapchat.

Et la nuit dernière, ce fut au tour de leur fils aîné Milann de leur faire peur. En plein milieu de la nuit, le petit garçon de 2 ans a éprouvé des difficultés pour respirer. En moins de deux, la petite famille était de retour à l’hôpital.

Nabilla Vergara : elle donne des nouvelles de Milann après son hospitalisation

Une fois la situation sous contrôle, Nabilla Vergara (dont l’appel au vote a été mal perçu) a pris la parole sur ses réseaux sociaux pour donner des nouvelles de son fils. En effet, les jeunes parents ont passé une courte nuit. Sur Snapchat, la femme enceinte (accusée de faire appel à une mère porteuse) racontait : « On a pas dormi de la nuit. On est parti à l’hôpital parce que notre fils ne respirait plus. Il avait les poumons complètement, il a chopé une bactérie en fait. Il n’arrivait même pas à m’appeler, heureusement je suis allée le voir parce qu’on lui a retiré les couches. Je me suis réveillée à 4 h, je suis allée le voir dans son lit et il était tout réveillé. Il n’arrivait pas à crier ‘maman’.« 

Et celle qui s’est fait tacler par le coiffeur de Jazz d’ajouter : « Il n’arrivait pas à respirer. On l’a emmené aux urgences, là il est sous appareil respiratoire. Là, il va très, très bien. On est parti lui acheter des petits cadeaux et des médicaments. «