‘Je suis sous traitement’ : la santé de Magali Berdah inquiète

Magali Berdah inquiète les internautes

Entre Banijay et Shauna Events, le divorce est consommé. Après plusieurs semaines de négociation, le géant français de l’audiovisuel a revendu pour un euro symbolique ses parts dans la plus célèbre agence d’influenceurs du pays. Magali Berdah récupère ainsi pour une bouchée de pain 100 % de son entreprise, selon une information révélée par le Parisien.

Selon nos confrères, Magali Berdah serait derrière cette décision. « J’avais besoin d’un objectif de reconstruction et d’une raison d’avancer. C’était une question de survie pour moi. J’ai plein de projets et d’ambitions », confie-t-elle. Par ailleurs, elle vient de perdre la tête d’affiche de son entreprise : Nabilla – qui sera bientôt de retour sur nos écrans. En novembre, la starlette a conclu un contrat d’exclusivité avec We Are Influence, l’agence de Diego El Glaoui,le chéri d’Iris Mittenaere (qui s’en est pris à un internaute).

Magali se confie

Alors Magali Berdah ne manque pas de répondre aux journalistes. Cette fois, elle a accepté de répondre sur le plateau de Jordan de Luxe. « Je suis aidée par un psychologue. Je l’ai au téléphone à peu près deux fois par semaine et fut un temps, je l’avais à peu près tous les jours. Tous les soirs, je devais faire une séance avant de dormir pour pouvoir dormir« , a-t-elle confié

Celle qui est accusée d’avoir menti à sa communauté a ajouté : « Personne ne peut sortir indemne d’un cyber-harcèlement en meute comme je l’ai subi […] Pour aller mieux, je suis sous traitement. Je prends des cachets. Un traitement un peu moins lourd en ce moment… ».

Magali a également évoqué le racha de sa société : « J’étais trop fière de pouvoir la racheter. Ça va être un nouveau départ pour moi, ça va être un nouveau challenge. Et c’est d’ailleurs ce que j’ai dit à Banijay quand je leur ai demandé le rachat. Ils n’étaient pas obligés d’accepter puisque j’étais salariée. Donc je leur ai dit : j’ai besoin de cette opportunité, j’ai besoin de me reconstruire parce que j’ai subi quelque chose d’inhumain« , a-t-elle expliqué.

 

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