Inès Loucif : en froid avec ses parents, elle les tacle

Inès Loucif : elle ne se supporte plus à cause des remarques de sa mère

Forte et Courageuse durant Koh-Lanta, Inès s’est montrée beaucoup plus sensible dans la Villa des Cœurs Brisés. Il faut dire que la jeune femme porte une problématique très lourde : « je ne me supporte plus. »

Au fil de ses coachings avec Lucie Mariotti, les téléspectateurs ont découvert que l’ex de Tristan entretenait une relation très compliquée avec ses parents et notamment sa maman qui l’a longtemps dénigrée. À tel point qu’Inès a aujourd’hui beaucoup de complexes.

« Cela vient des mots très durs de ma mère pendant des années sur mon physique, sur le fait que je n’avais pas de formes, que je ressemblais à une guenon… Elle m’interdisait de mettre du maquillage. Évidemment aujourd’hui, cela me fait plaisir quand on me complimente, qu’on me dit que je suis belle, mais l’impact ne parvient pas à effacer ces vingt années de critiques. Pour remédier à mon traumatisme, je fais énormément de sport pour sculpter mon corps, évacuer mon stress et reprendre confiance en moi. Reste mon visage, c’est un mal beaucoup plus profond » s’était-elle confiée auprès du Figaro.

Inès Loucif : ses parents ne lui fêtent pas son anniversaire, elle les tacle

Ce lundi 24 mai, la jeune femme a soufflé sa 27ᵉ bougie. Si Inès a eu la chance de pouvoir passer un agréable moment avec ses proches depuis que le confinement est levé, ses parents manquaient à l’appel.

D’ailleurs, ni sa maman, ni son papa ne l’ont au moins appelé pour lui souhaiter un bel anniversaire. Tandis qu’Inès a remercié sa communauté pour les nombreux messages d’amour qu’elle a reçu ce jour-là, elle en a profité pour glisser un petit pique à ses parents. « Je remercie aussi ‘mes parents’ qui ont dû ‘oublier’ pour la énième fois » a-t-elle écrit ironiquement.

Néanmoins, Inès (agressée par un homme à l’hôpital) rêve toujours que la situation s’améliore au moins un peu. En larmes, dans Koh-Lanta elle avait confié à ce sujet : « il y a une partie de moi qui espère qu’un jour on pourra au moins juste être cordial, qu’il n’y aura plus de tensions, qu’on pourra se dire bonjour normalement et qu’il n’y aura plus de malaises. Déjà, franchement, si il y a ça, ce sera énorme. »