Inès Loucif parle de son augmentation mammaire à ses abonnés
Après sa participation remarquée à Koh-Lanta, Inès Loucif fait son retour sur le petit écran dans la Villa des Cœurs Brisés. Sa problématique est forte : je ne supporte pas ce que je suis. Marquée par les nombreuses remarques qu’elle a reçues sur son physique étant plus jeune, la candidate a dévoilé les nombreux complexes dont elle souffre aujourd’hui.
Ce 24 février, Inès a pris la parole sur ses réseaux sociaux pour évoquer avec sa communauté la première opération de chirurgie qu’elle a subie. « On est en 2013, je suis diagnostiquée sur une hypotrophie mammaire. C’est une absence de développement mammaire, un développement anormal. Je ne remplissais pas du tout le soutien-gorge, c’était du 70A. J’avais des pectoraux, c’était horrible. » Considérée comme une chirurgie réparatrice, l’opération a pu être prise en charge par la sécurité sociale. « J’ai pleuré quand il a mis ‘avis favorable’ sur le papier » a-t-elle ajouté.
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Inès Loucif prévoit une nouvelle intervention sur son visage
Aujourd’hui, la candidate se sent bien dans son corps. Néanmoins, elle continue d’entretenir de nombreux complexes par rapport à son visage. Notamment avec ses yeux. « Au niveau d’un muscle j’ai une hypertrophie. Je me retrouve avec un muscle qui est surdéveloppé, ce qui fait que quand je souris, on ne voit plus mes yeux. Je trouve ça moche, que ça donne l’aspect d’une alcoolique et je n’aime pas ça » a expliqué Inès.
Malgré tout, celle qui se disait écœurée par les mesures prises par le gouvernement a tenu à rassurer ses abonnés en affirmant qu’elle ne comptait pas user de la chirurgie esthétique à outrance. « Ce que je fais est raisonné, très discret, ça ne se voit pas. Je veux rester dans le naturel au maximum en essayant de changer quelques détails qui me complexent énormément. »
D’autant que son corps n’est pas toujours d’accord. Dans une interview accordée à Voici, Inès a expliqué qu’elle avait vu un chirurgien cet été pour une autre intervention. « L’opération n’a pas pu se faire parce que c’est mon corps qui ne veut pas, donc je ne peux pas. »
