Giuseppa : très attristée par le meurtre de la petite Lola, elle prend la parole

Meu*tre de Lola : la suspecte n’aurait pas dû être en France

Les nouvelles du vendredi 14 octobre 2022 a plongé toute la France dans l’effroi. Vers 23h20, un homme sans domicile fixe fait une découverte macabre dans la cour d’un immeuble du 19e arrondissement. Dans une malle en plastique, se trouve le co*ps sans vie de Lola, jeune collégienne de 12 ans. Vi*lée, puis asp*yxiée et mutilée par son agresseur, la jeune fille a vécu un véritable calvaire.

Très vite, les forces de l’ordre arrêtent plusieurs personnes dont Dhabia B., une jeune ressortissante algérienne de 24 ans. Cette dernière a été vu en train de pénétrer dans le hall de l’immeuble suivie de Lola, avant d’en ressortir seule, plus tard, avec une malle et deux bagages à mains.

Plaée en détention à Fresnes où un traitement spécial lui est réservé, nous apprenons par Europe 1 que la principale suspecte n’aurait jamais dû se trouver en France le jour du drame. En effet, Dhabia B. avait reçu une obligation de quitter le territoire français avant le 21 septembre dernier.

Giuseppa : « horrifiée », elle rend hommage à la petite Lola

Alors que les déclarations de la principale suspecte faite lors de sa garde à vue sont plus abjectes les unes que les autres, nous pensons avant tout à la famille de Lola. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses personnalités lui rendent hommage. La Première Dame s’est d’ailleurs récemment exprimée sur son décès, bouleversée.

De son côté, la candidate de télé-réalité, Giuseppa Cuirleo, se dit, elle aussi, ‘horrifiée’. Dans sa story, elle adresse un message en hommage à la jeune adolescente.

Elle écrit : « Je n’ai pas les mots depuis cette atroce nouvelle… J’ai le cœur noué de savoir ce que cette pauvre petite fille a subi, et ce que la famille doit endurer à cause d’une foutue co***sse ! Je suis horrifiée et je me demande dans quel avenir nous allons pour nos futurs enfants maintenant… Toutes mes condoléances, mon courage ainsi que ma force aux parents… Personne au monde ne mérite de vivre ça… J’en pleure de tristesse. »