Poupette Kenza : accusée de maltraitance sur ses enfants, une nouvelle enquête est ouverte
De retour sur les réseaux sociaux, Poupette Kenza est sortie du silence après avoir été accusée de maltraitance sur ses enfants. Détails.

Résumé de l'article
Poupette Kenza fait face à une nouvelle enquête sociale suite à d’anciennes accusations, tandis que sa vie familiale et ses choix maternels suscitent controverses et débats en ligne.
Il y a deux ans, Poupette Kenza a vécu l’un des épisodes les plus douloureux de sa vie de mère : son fils Khalis, alors âgé de 9 mois, avait été placé par les services sociaux à la suite d’accusations de maltraitance. En garde à vue, l’influenceuse avait tout nié avant de raconter en larmes sur YouTube : « Mon fils n'est pas tombé, je ne l'ai pas fait tomber. (…) Je n’oublierai jamais cette scène. »
Elle décrivait alors le traumatisme de voir son bébé emmené par une assistante sociale accompagnée de policiers. Aujourd’hui, bien que Khalis ait retrouvé sa maman, les polémiques autour de Poupette continuent de rythmer son quotidien. Entre critiques incessantes des internautes et nouvelles procédures judiciaires, la jeune femme reste une figure controversée.
Des polémiques qui ne s’arrêtent jamais
Toujours scrutée, rarement épargnée, Poupette Kenza tente de tourner la page de ses déboires judiciaires. Inscrite à l’université de Cholet en licence de SVTC, elle partage sa vie d’étudiante et de mère sur les réseaux. Mais chaque publication devient sujet à débat. Récemment, une vidéo la montrant danser avec sa fille Nessayem a provoqué un malaise : certains internautes ont jugé le visage crispé de l’enfant « effrayé », et multiplié les commentaires indignés.
Peu après, une autre séquence a enflammé la toile : Poupette expliquait initier sa fille à la DME, mais en lui proposant… de la pizza. Les réactions ont été immédiates : « Poupette je t’aime mais non non non DME pas pizza !!! », « Attention, la pizza c’est risque d’étouffement +++ ». Conçus comme des moments de complicité familiale, ces extraits se transforment régulièrement en procès public, où ses choix de mère sont remis en cause.
Poupette Kenza au coeur d'une nouvelle enquête sociale
À ces critiques s’ajoute une nouvelle épreuve : l’ouverture d’une enquête sociale. Sur TikTok, Poupette Kenza a révélé sa détresse en évoquant un « secret » qu’elle gardait. « Nous étions le 1er août 2025 quand je reçois un papier qui dit que nous sommes convoqués par le commissariat de police pour violences sur mineures, en particulier Seyana. (…) Mon monde s’effondre. » Stressée, elle raconte avoir obtenu un rendez-vous avancé avec une OPJ « adorable ». Sa fille a été auditionnée pendant quarante minutes, avant que Poupette ne soit entendue à son tour. Selon elle, il s’agissait d’un signalement anonyme provenant soi-disant d’un voisin, ce qu’elle conteste fermement.
Elle ajoute que la lettre datait du mois de mai, « juste après la sortie de [son] livre », et estime être la cible de surveillances malveillantes : « C’est inhumain, cruel et honteux, les personnes qui ont fait ça j’espère que vous allez le payer ! » Si l’affaire a été classée sans suite, les services sociaux ont tout de même mené une enquête en trois rendez-vous. Poupette affirme aujourd’hui en être sortie « réconciliée » avec les services sociaux, et explique que son dossier a été clos et classé sans suite. Découvrez tout le témoignage de la jeune maman dans la vidéo ci dessous :