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Marguerite (Star Academy) : accusée d’avoir plagié son titre Les filles les meufs, elle répond

par Lilou

Marguerite (Star Academy) : accusée d’avoir plagié son titre Les filles les meufs, elle répond
Crédit photo : ©Instagram

Candidate de la dernière saison de la Star Academy, Marguerite fait sensation avec son premier single, mais se retrouve au cœur d’une polémique inattendue.

Avec Les filles, les meufs, Marguerite, ex-candidate de la Star Academy, dévoile un morceau engagé et personnel, inspiré de sa propre bisexualité. Attendue au tournant, la jeune artiste ne s’imaginait pas provoquer autant de réactions. Entre éloges et polémiques, ce premier titre fait déjà couler beaucoup d’encre.

En pleine promotion de son morceau, Marguerite s’est exprimée dans une interview accordée à Billboard France. Calme mais lucide, elle assume pleinement son processus créatif et rejette toute accusation de copie envers des artistes comme Angèle ou Héléna Bailly. Une mise au point nécessaire, qui clarifie ses intentions artistiques dès ses débuts.

La chanson personnelle de Marguerite sous les projecteurs

Marguerite n’avait pas anticipé que Les filles, les meufs déclencherait autant de réactions. Pourtant, ce premier single, profondément personnel, parle d’une quête d’identité assumée : « Je m’attendais pas à un engouement de cet ordre-là. En fait je m’attendais un peu à rien, à vrai dire », a-t-elle confié. Pour elle, l’essentiel était que « les personnes le comprennent », ce qui semble avoir été le cas, au moins en partie. Porté par une mélodie pop et des paroles affirmées, le titre séduit une large audience, notamment grâce à sa sincérité brute : « Je préfère les filles, les femmes, les meufs / J’me sens mieux dans ma vie, depuis que j’ai dit… ».

Une déclaration simple, directe, qui donne au morceau une force émotionnelle marquante. Mais malgré cet élan, les critiques n’ont pas tardé. Certains internautes ont dénoncé une trop forte ressemblance avec Ta Reine d’Angèle, ou encore un style musical évoquant Héléna Bailly. Marguerite, cependant, reste droite dans ses bottes : « Quand j’ai commencé à composer, je ne cherchais pas à faire un tube, ni à copier quelqu’un. J’écrivais simplement ce que j’avais dans la tête. » Une phrase glanée dans un vieux carnet aurait été le point de départ du morceau. Aucune stratégie, donc, juste une nécessité intime de mettre en musique un pan de son histoire personnelle.

Une accusation de plagiat rapidement désamorcée

Les ressemblances avec d’autres artistes, notamment Héléna Bailly, ne sont pas totalement fortuites. Selon Le Parisien, Marguerite partage le même producteur que la jeune Belge : Vincha, un pilier de Sony Music, déjà à l’œuvre derrière Louis Albi ou Paola. De quoi expliquer des similitudes dans les ambiances sonores et les choix de production. Une source proche du label l’affirme : « Ce n’est pas du plagiat, c’est une direction artistique cohérente au sein d’un même label. » Autrement dit, il s’agirait d’un style commun, et non d’une copie servile.

Marguerite, elle, ne semble pas s’inquiéter de ces rapprochements. Elle insiste sur sa démarche personnelle, et assume pleinement la filiation artistique : « J’ai pas du tout fait le lien avec Ta Reine d’Angèle quand j’ai écrit le morceau. » Pas de tensions non plus avec Héléna, qui a même assisté à la release party du single le 17 avril. Toute la promotion de la Star Academy était présente pour soutenir leur camarade. Une soirée placée sous le signe de la bienveillance et de la reconnaissance. Dans cette ambiance festive, les polémiques paraissent bien loin, et Marguerite savoure enfin le début d’une carrière musicale qu’elle veut libre, authentique et assumée.

Issue d'une formation littéraire, j'ai obtenu un Master spécialisé en culture et en communication. Cela m'a permis de m'orienter vers le journalisme. Plus particulièrement sur des sujets actu, sport et culture.

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