Au début du mois de janvier, Maeva Ghennam a été confrontée à une situation particulièrement effrayante lors d’un séjour à l’hôtel à Dubaï. Le 9 janvier, un individu a réussi à obtenir la clé de sa chambre d’hôtel et s’y est introduit sans son consentement. Bouleversée, elle a immédiatement réagi en filmant la scène et en interpellant l’intrus : « Je vous connais ? » Face à son attitude désinvolte, elle s’est indignée : « Non, non, y a pas tranquille ! Tu oses me dire tranquille ? Je sais pas qui tu es ! »
L’influenceuse a ensuite exprimé son incompréhension face à un tel comportement, rappelant que même un fan ne pouvait pas se permettre une telle intrusion. Après vérification, il s’est avéré que l’homme en question était un Marseillais atteint de schizophrénie. Si Maeva a choisi de ne pas porter plainte, elle a toutefois insisté pour qu’il ne tente plus de l’approcher.
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Maeva Ghennam au cœur d’une nouvelle polémique
Habituée aux polémiques, Maëva Ghennam s’est récemment retrouvée au cœur d’un scandale politique. Le 7 janvier 2025, elle a exprimé sa satisfaction après l’annonce du décès de Jean-Marie Le Pen en partageant une vidéo où elle chante « La jeunesse emmerde le Front National », accompagnée du message provocateur : « Du coup, le dress code pour l’enterrement, c’est Habaya et Kamis. » Si certains ont salué son humour, d’autres ont dénoncé un manque de respect envers les défunts, rappelant que sa foi prône pourtant la compassion.
Kim Glow a critiqué son attitude, l’accusant « d’inciter à la haine », tandis que d’autres ont souligné l’hypocrisie d’un tel message venant de l’étranger. Face aux critiques, Maëva a assumé ses propos : « Pensez-vous que je vais être triste pour la mort de Jean-Marie Le Pen ? » Elle a ensuite enfoncé le clou en établissant un parallèle : « Si j’avais été née pour Hitler, j’aurais fêté sa mort. Je n’oublie pas ce qu’il a fait à l’Algérie. » Loin de revenir sur ses déclarations, elle semble déterminée à assumer ses positions, quitte à diviser son audience.
Elle s’en prend au rappeur Gazo
Maëva Ghennam est connue pour utiliser ses réseaux sociaux comme une véritable tribune, n’hésitant pas à pousser des coups de gueule sur les sujets qui l’indignent. Récemment, elle s’en est violemment prise au rappeur Gazo, figure incontournable du rap français et pionnier de la drill en France. Très remontée, elle a déclaré sans détour : « Je donne pas de force aux rappeurs qui ont vendu leur âme au diable. » Avant d’ajouter sèchement : « Allez, casse-toi Gazo, t’as pas honte ? » L’influenceuse reproche à l’artiste d’avoir pactisé avec des forces occultes pour atteindre le succès, tout en se rendant ensuite à La Mecque, ce qu’elle perçoit comme une hypocrisie flagrante.
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Selon elle, le rappeur aurait sacrifié ses principes spirituels au profit de la célébrité et de l’argent, ce qu’elle condamne fermement : « C’est Dieu qui donne. » Maëva lui reproche ainsi d’avoir renoncé à la foi pour la notoriété, pointant du doigt des actes qu’elle considère comme contraires aux valeurs religieuses. Fidèle à son franc-parler, elle n’a pas mâché ses mots. Ainsi, elle a provoqué un vif débat sur les réseaux sociaux entre ceux qui soutiennent sa prise de position et ceux qui dénoncent son jugement. Et vous, qu’en pensez-vous ?
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