Après son retour sur Snapchat, Jazz Correia a partagé une photo d’elle en maillot de bain, où elle assume fièrement sa silhouette après quatre grossesses. « 4 babys, yes », a-t-elle écrit en légende. Mais un commentaire n’a pas tardé à remettre en question l’authenticité de son corps, et insinue que la chirurgie y est pour beaucoup. Connue pour son tempérament bien trempé, Jazz a immédiatement réagi. Si elle admet avoir eu recours à une seule intervention, elle souligne que son apparence est avant tout le résultat d’efforts constants.
Régime, sport et restrictions ont fait partie de sa routine. Et comme à son habitude, elle n’a pas mâché ses mots : « Manger pas des trucs de merde et faites du sport, ça coûte que dalle. » Mais la polémique ne s’est pas arrêtée là. Et récemment, c’est son mode d’éducation qui a fait bondir les internautes et relancé les débats autour de la star de télé-réalité.
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Jazz Correia frôle la prison
En janvier dernier, Jazz Correia a levé le voile sur un épisode méconnu de sa vie : il y a cinq ans, elle a été condamnée à Dubaï pour fornication. Une révélation surprenante, liée à un imbroglio administratif au moment de la naissance de son fils. Tout bascule lorsque l’influenceuse se rend à l’hôpital pour accoucher. Alors que les documents officiels sont examinés, les autorités signalent une irrégularité : son mariage a eu lieu alors qu’elle était enceinte de quatre mois, une situation incompatible avec la législation locale.
Conséquence immédiate, l’acte de naissance de son fils est bloqué et plonge le couple dans une situation délicate. Convoquée devant la justice, Jazz Correia se retrouve face aux juges, tandis que son mari, Laurent Correia, doit attester publiquement de leur union et de sa paternité. En effet, cette démarche était indispensable pour éviter des sanctions bien plus lourdes. Car au-delà de la condamnation, l’influenceuse a échappé de justesse à une amende de 200 000 dirhams et à une peine de prison.
L’éducation qu’elle donne à ses enfants vivement critiquée
L’éducation Montessori et la parentalité bienveillante reposent sur l’écoute, l’autonomie et le respect du rythme de l’enfant, loin des méthodes punitives. Une approche qui fait de plus en plus d’adeptes… mais aussi des détracteurs. Sur les réseaux sociaux, une nouvelle tendance prend le contre-pied de ces principes : le concept de « maman ghettossori ». À travers des témoignages teintés d’ironie, certaines mères revendiquent une éducation plus directe, moins indulgente, voire brutale, et assument des pratiques réprimandées par l’éducation bienveillante. Et Jazz Correia s’est récemment emparée du phénomène. Ainsi, elle a partagé une vidéo où elle revendique ce mode d’éducation.
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Je suis une maman ghettossori, bien sûr que quand mon enfant m’énerve je le pince, et que quand il dit « aie » je fais « mais qu’est-ce qu’il y a mon cœur ? ». Bien sûr que quand mes enfants m’énervent et que j’en parle à mon mari, je lui dis « ton fils, ta fille » comme si ce n’étaient pas les nôtres. Bien sûr que quand la maîtresse me dit que mes enfants ont chahuté à l’école, devant elle je dis que je suis d’accord avec elle, mais quand je suis dans la voiture, je lui dis « t’as bien raison, te laisse pas faire. »
Une déclaration qui a immédiatement déclenché une vague de réactions. Si certains ont perçu ces propos comme de la provocation, d’autres y ont vu une justification d’un comportement problématique. Parmi les commentaires les plus virulents : « Mais ? Je rêve ou elle annonce clairement qu’elle est violente ? », « Faut aller se faire soigner », ou encore « On n’a jamais pensé que tu étais une maman Montessori, ne t’inquiète pas. »Une nouvelle polémique pour Jazz Correia, qui, une fois encore, divise et alimente les débats sur l’éducation des enfants.
@jazz.correia JE SUIS UNE MAMAN GHETTOSORI #GHETTOSORI #2025 #jlcfamily