Jay-Z : accusé d’agression sur une adolescente de 13 ans, il sort du silence

Au mois de septembre, l’industrie du disque s’ébranlait sous le scandale P.Diddy. Et pour cause, le célèbre rappeur a été interpellé et placé en détention provisoire pour des faits graves, incluant notamment de sombres accusations de trafic sexuel. Et tandis que Sean Combs, de son vrai nom, est dans l’attente de son procès fixé en mai 2025, l’affaire prend de plus en plus d’ampleur.

Ainsi, il a été révélé que des personnalités françaises pourraient être impliquées. Par ailleurs, un chanteur bien connu a également été cité dans ce scandale, mais en tant que victime. Selon les déclarations de Suge Knight, ex-PDG de Death Row Records, P.Diddy aurait jeté Justin Bieber en pâture lors de « voyages romantiques ». Et tandis que l’interprète de Baby reste muet face à ces allégations, un autre nom ressort désormais. Celui de Jay-Z.

Jay-Z accusé de viol sur mineur

Au mois d’octobre 2024, une nouvelle plainte venait alourdir les charges à l’encontre de P.Diddy. Dans cette dernière, il était révélé que le rappeur aurait abusé d’une jeune fille de 13 ans en présence d’autres stars. Si, à l’époque, aucun nom n’avait été cité dans la plainte, celle-ci évoque à présent le célèbre Jay-Z. En effet, d’après la fameuse plainte déposée ce dimanche 8 décembre, le mari de Beyoncé aurait commis un viol collectif avec Sean Combs.

D’après le dossier, les deux rappeurs américains auraient agressé cette adolescente lors d’une soirée après les MTV Video Music Awards, dans les années 2000. « Une autre célébrité est restée là à regarder Combs et Carter agresser la personne mineure à tour de rôle. De nombreuses autres personnes étaient présentes à la soirée, mais n’ont rien fait pour arrêter l’agression », indique le dossier.

Le rappeur sort du silence

Des allégations des plus graves que Jay-Z a démenties au travers d’un communiqué. Dans celui-ci, le mari de Beyoncé dénonce une tentative de chantage. « Mon avocat a reçu une tentative de chantage, appelée lettre de mise en demeure, de la part d’un ‘avocat’ nommé Tony Buzbee (…) Ce qu’il avait calculé, c’était que la nature de ces accusations et la pression médiatique me pousseraient à accepter un règlement à l’amiable”, a expliqué le quinquagénaire.

Bien décidé à se défendre, Jay-Z affirme qu’il ne donnera « pas un seul centime » à ces maîtres chanteurs présumés. Dans la suite du communiqué, le rappeur assure que « quiconque commet un tel crime doit être emprisonné ». Et, de toute évidence, il ne s’inclut pas dans cette catégorie. Par ailleurs, Carter regrette les conséquences que ces accusations pourraient avoir sur ses proches, notamment sur ses enfants :

Ma femme et moi allons devoir expliquer à nos enfants, dont l’un est à un âge où ses amis verront sûrement la presse et poseront des questions sur la nature de ces allégations, la cruauté et l’avidité des gens. Je pleure une nouvelle perte d’innocence.

Affaire à suivre. Le communiqué de Jay-Z :