"Ce n’est pas moi" : Giulia Sarkozy se défend face à sa découverte
Giulia Sarkozy, 13 ans, dénonce un faux compte TikTok usurpant son identité. Sur Instagram, elle alerte ses abonnés : “Ce n’est pas moi !”. Soutenue par Carla Bruni, elle met en garde contre les dangers et dérives des réseaux sociaux.

Résumé de l'article
Giulia Sarkozy, 13 ans, dénonce un faux compte TikTok usurpant son identité. Sur Instagram, elle alerte ses abonnés : “Ce n’est pas moi !”. Soutenue par Carla Bruni, elle met en garde contre les dangers et dérives des réseaux sociaux.
En début de semaine, Giulia Sarkozy a fait une découverte troublante sur les réseaux sociaux. L’adolescente de treize ans, fille de Nicolas Sarkozy et de Carla Bruni, a constaté que son identité avait été usurpée sur TikTok. Un faux compte utilisait son nom et diffusait des vidéos, laissant croire qu’il s’agissait réellement d’elle.
Face à cette situation, la jeune fille a décidé de réagir publiquement. Très suivie sur Instagram, elle a immédiatement publié une capture d’écran du profil trompeur. Puis elle a mis en garde ses abonnés. “CE N’EST PAS MOI !”, a-t-elle écrit avec fermeté, espérant ainsi limiter la propagation de la supercherie. Une nouvelle preuve que la notoriété, même héritée, peut s’accompagner de désagréments précoces.
Giulia Sarkozy face à l’usurpation d’identité
À l’approche de ses quatorze ans, Giulia Sarkozy mène une vie d’adolescente passionnée par l’équitation. Sur ses réseaux sociaux officiels, elle partage régulièrement des clichés de ses entraînements, de ses compétitions et de sa complicité avec sa ponette Valentine. Son compte Instagram rassemble déjà plus de 51 000 abonnés, un chiffre impressionnant pour son âge, qui témoigne de l’intérêt que suscite sa personnalité. Pourtant, cette notoriété attire aussi des personnes malintentionnées.
Le 22 septembre, la jeune cavalière a été confrontée à une usurpation d’identité sur TikTok. Un faux compte, reprenant son nom et utilisant ses images, diffusait du contenu à destination du public. Cette pratique est malheureusement fréquente, en particulier pour les enfants de célébrités, souvent exposés malgré eux. Consciente des risques, Giulia n’a pas tardé à réagir. En publiant la capture du faux profil en story, elle a pris l’initiative de prévenir sa communauté. Son message, court et incisif, “CE N’EST PAS MOI !”, vise à dissiper tout malentendu et à empêcher que certains de ses abonnés ne soient trompés, voire manipulés à des fins financières.
Le soutien et la mise en garde de Carla Bruni
Cette mésaventure n’est pas un cas isolé pour Giulia Sarkozy. Déjà, lors de son bannissement de TikTok il y a quelques mois, sa mère Carla Bruni avait exprimé publiquement son indignation. Elle dénonçait le paradoxe d’une plateforme qui sanctionne une adolescente mineure tout en tolérant des comptes pirates utilisant son image. “Ils l’ont bannie alors qu’il y a des comptes pirates d’elle qui ont un nombre d’abonnés incroyable qui, peut-être, monétisent. La pauvrette, alors qu’elle est mineure”, s’était émue l’ancienne première dame.
Au-delà de la réaction maternelle, cette situation soulève des questions plus larges sur la place des jeunes sur les réseaux sociaux. Dans sa série Carla pour toi, diffusée sur YouTube, Carla Bruni avait déjà reconnu les dangers que pouvaient représenter ces plateformes, tout en affirmant que sa fille était consciente des risques. L’affaire récente confirme toutefois que la vigilance reste indispensable. Entre désir de partager sa passion et nécessité de se protéger, Giulia Sarkozy incarne malgré elle les contradictions d’une génération hyperconnectée, où l’image publique devient parfois un fardeau.
