En janvier 2025, Maeva Ghennam a vécu une intrusion inquiétante dans sa chambre d’hôtel à Dubaï, où un homme atteint de schizophrénie s’est introduit sans autorisation. Choquée, elle a exigé qu’il ne tente plus de l’approcher. Quelques jours plus tôt, elle avait déclenché une polémique en célébrant la mort de Jean-Marie Le Pen avec une vidéo provocatrice, suscitant des réactions partagées entre soutien et indignation.
Assumant pleinement ses propos, elle a comparé l’ex-leader du FN à Hitler, affirmant qu’elle n’éprouvait aucune tristesse pour son décès. Plus récemment, elle s’en est prise au rappeur Gazo, après l’avoir accusé d’hypocrisie spirituelle et de compromission pour la célébrité. Ce qui a déclenché un vif débat sur les réseaux sociaux. Fidèle à son franc-parler, l’influenceuse continue d’alimenter les controverses sans craindre de diviser l’opinion.
Sur le même sujet
Maeva Ghennam apparaît défigurée
Après plusieurs jours d’absence, Maeva Ghennam est réapparue en larmes sur ses réseaux sociaux, suscitant l’inquiétude de ses abonnés. Elle a expliqué s’être tenue à l’écart, ne voulant pas se montrer dans un état aussi altéré. Finalement, elle a pris la parole pour dévoiler l’origine de son malaise : une réaction allergique sévère ayant entraîné un gonflement impressionnant de son nez. « Je suis sous anti-inflammatoires, mon nez a triplé de volume ! » a-t-elle confié. Pour illustrer l’ampleur du problème, elle a publié une photo où son visage semblait méconnaissable, provoquant une avalanche de réactions.
Entre messages de soutien et interrogations sur la cause de cette allergie, ses abonnés ont rapidement fait circuler des hypothèses, certains évoquant une complication médicale ou esthétique. Sans en dire plus sur l’origine de cette mésaventure, l’influenceuse a montré, une fois de plus, que même les figures médiatiques les plus scrutées ne sont pas épargnées par les aléas du quotidien. Reste à voir si elle partagera l’évolution de son état ou si elle choisira de tourner la page discrètement.
Bastos s’en prend à elle et l’accuse de faits graves
Fidèle à son franc-parler, Bastos a livré une analyse bien particulière sur Maeva Ghennam, l’ex de Greg Yega. Lors d’un live, un abonné a mentionné que l’influenceuse critiquait régulièrement la justice française. À cela, Bastos a répliqué sans détour : « Maeva Ghennam, elle a toujours traîné avec des voyous. » Poursuivant sur sa lancée, il a ajouté :
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
"Ça n'arrivera pas" : Kelly Vedovelli évincée de la nouvelle émission de Cyril Hanouna, elle réagit en direct !
-
Bruce Willis malade : sa femme prend une décision radicale pour le préserver !
-
Numéro Inconnu, textos toxiques au lycée (Netflix) : que deviennent Lauryn et sa mère Kendra Licari ? On vous dit tout !
-
Nordahl Lelandais : jugé pour violences conjugales, cette scène choquante captée par la vidéosurveillance !
-
Léon Marchand sèche la rentrée : le nageur est toujours en vacances et il est très bien entouré !
-
L'influenceuse Esmeralda Ferrer Garibay retrouvée morte dans une camionnette avec son mari et ses deux enfants
-
"Je vais la regarder tout le temps" : en larmes, la mère de Jean Pormanove se livre sur la vidéo de la mort du streamer
-
Maeva Martinez : ses contenus privés sur Mym fuitent, elle apparaît en pleurs au volant de sa voiture !
-
Koh-Lanta en deuil : un célèbre candidat décède
-
"Il a sauvé ma vie..." : une journaliste de CNews agressée, son petit ami la défend et prend plusieurs coups de couteau !
Si la justice faisait son travail, elle serait en prison.
Puisil a ajouté : « Tous les impôts que t’as pas payés… n’importe quoi. C’est une racaille, Maëva ! » De son côté, la Marseillaise n’a pas tardé à réagir sur Snapchat, défendant son intégrité : « Alors je suis un voyou avec un casier judiciaire vierge. »
Elle a réaffirmé son manque de confiance envers la justice française, expliquant que son vécu justifiait son scepticisme. Elle a ensuite taclé Bastos en revenant sur l’une de ses déclarations passées : « Venant d’un mec qui dit ‘Si vous n’êtes pas Charlie, vous ne méritez pas de vivre en France’, je trouve ça très, très, très rigolo. » Avant de conclure avec une pointe d’amertume : « Parce que je suis arabe, algérienne et que je viens des quartiers Nord de Marseille, je suis un voyou ? » Enfin, elle l’a mis en garde : « Tout ce que tu vas gagner, c’est un procès en diffamation. » Affaire à suivre, donc…