Ariane Brodier : après avoir été attaquée par des chiens, elle subit un épisode traumatisant

Victime d’une attaque de chiens puis d’une agression violente quelques jours plus tard, Ariane Brodier enchaîne les traumatismes et annonce porter plainte tout en demandant du recul.

Publié le par Lola Olivier - Modifié le
Ariane Brodier : après avoir été attaquée par des chiens, elle subit un épisode traumatisant
© Zabulon Laurent/ABACA/Shutterstock

Résumé de l'article

Ariane Brodier fait face à une succession d’épreuves traumatisantes suite à une attaque canine puis une violente agression, la conduisant à porter plainte et à se protéger.

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Tout sur Ariane Brodier

Ces derniers jours, Ariane Brodier traverse une période particulièrement éprouvante. Quelques jours après avoir été violemment attaquée par trois chiens lors d’un simple footing, l’animatrice pensait pouvoir entamer son rétablissement dans le calme. Pourtant, la sérénité qu’elle espérait retrouver s’est rapidement évanouie.

Alors qu’elle commençait tout juste à gérer les suites de cette agression canine, l'ancienne collègue de Laurent Ournac a été confrontée à un nouvel épisode traumatisant, plus brutal encore. Entre douleurs physiques, démarches judiciaires et nécessité de se protéger, Ariane Brodier tente désormais de faire face à cette succession de chocs qui bouleversent son quotidien.

Une attaque canine qui laisse des traces

Le 20 novembre, Ariane Brodier s’était accordé un moment de sport matinal en pleine nature. Loin d’imaginer que cette sortie se transformerait en véritable cauchemar. Au cours de son footing, trois chiens se sont soudain rués sur elle. L’un d’entre eux la mordant violemment à la jambe. Conduite en urgence à l’hôpital, elle découvre alors l’étendue des dégâts. Une main écrasée nécessitant des points de suture. Et une plaie ouverte où “énormément de bactéries” sont présentes, comme elle l’explique. Malgré l’absence d’atteinte aux tendons, elle précise qu’“un peu de chair est partie”. Une blessure qui demandera plusieurs jours de soins réguliers par une infirmière. Encore sous le choc, la mère de famille décide pourtant de sensibiliser les propriétaires de chiens et de ne pas laisser l’incident impuni.

Dans un message adressé à ses abonnés, Ariane Brodier révèle qu’elle a immédiatement choisi d’entamer des démarches judiciaires. “Je vais aller à la gendarmerie pour porter plainte.” Au-delà de la douleur physique, c’est la violence de l’attaque et l’absence de contrôle des animaux qui la marquent profondément. Déterminée à obtenir des réponses et à éviter que d’autres ne vivent une expérience similaire, elle transforme sa peur en action. Pour ses proches comme pour ses abonnés, elle cherche à donner du sens à cette épreuve et à rester transparente sur son état. Mais elle est loin d’imaginer qu’un nouveau traumatisme l’attend.

Ariane Brodier : après avoir été attaquée par des chiens, elle subit un épisode traumatisant

Un nouvel épisode traumatisant, encore plus violent

Alors qu’elle espérait se reposer et retrouver un semblant de normalité après cette attaque, Ariane Brodier a dû affronter un nouvel événement choquant. Le 24 novembre, elle prend la parole sur les réseaux sociaux pour annoncer avoir été victime d’une agression d’une “violence extrême”. Cette fois, ce ne sont plus des animaux, mais un acte humain qui la blesse profondément. Elle révèle souffrir d’un nez cassé et de lésions aux cervicales, des blessures qui témoignent de la brutalité du geste. “Hier, j'ai été victime d'une agression d'une violence extrême”, raconte-t-elle, encore sous le choc. Elle remercie ensuite chaleureusement les secours et les forces de l’ordre. “Je souhaiterais également remercier les gendarmes et pompiers […] ainsi que les personnes qui m'ont secourue.”

Aussitôt prise en charge médicalement, Ariane Brodier a, une nouvelle fois, décidé de porter plainte. “Une plainte a été déposée, et les forces de l'ordre ont désormais pris en charge le dossier”, précise-t-elle. Ces dernières 72 heures deviennent pour elle une accumulation de violences, de démarches administratives et de stress psychologique. Consciente de l’impact émotionnel de ces événements, elle annonce vouloir prendre du recul. “Je n'ai ni la force ni l'envie de rentrer dans les détails. J'ai besoin de me protéger, de me reposer.” Cette mise à distance est aussi une manière de préserver ses proches et ses abonnés. Tout en leur promettant de revenir lorsque son état le lui permettra. Ses mots, simples et sincères, témoignent d’une femme éprouvée mais reconnaissante du soutien reçu. “Merci du fond du cœur pour votre bienveillance.”

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