Vladimir Poutine : le président de la Russie serait dans un état ‘déplorable’

Vladimir Poutine : sa ‘poupée de fer’ s’exprime sur les obsèques d’Elizabeth II

Tandis que les obsèques de la Reine Elizabeth II avaient lieu le 19 septembre 2022, Olga Skabeyeva, célèbre présentatrice russe, a regretté que la Russie n’est pas at*aqué l’abbaye de Westminster.

En effet, alors que Joe Biden tente de dissuader Vladimir Poutine d’utiliser l’a*me nucléaire, le membre du comité de défense du parlement russe, Andrey Gurulyov déclarait : « Si le territoire russe est vraiment menacé, nous sommes dans le droit d’utiliser des a*mes nucléaires. Qu’est-ce qui lui fait penser que nous lancerions une att*que nucléaire sur l’Ukraine ? Nous aurions toujours à vivre là-bas, en Ukraine, et nous avons des tas d’autres cibles. Ramstein (base aérienne américaine en Allemagne, ndlr) est est une très grande (…). Mais pourquoi bombarderions-nous l’Ukraine ou l’Allemagne ? Il y a la Grande-Bretagne, la racine du mal. »

Et la ‘poupée de fer’ de Vladimir de répondre : « Nous aurions dû le faire aujourd’hui. Toutes les meilleures personnes étaient là, à assister aux funérailles. »

Vladimir Poutine : son état de santé se détériorerait de plus en plus

La semaine passée, Vladimir Poutine donnait un discours pour annoncer l’annexion illégitime de quatre régions ukrainiennes. Un moment durant lequel le président russe paraissait frénétique. Sur scène, le dirigeant (qui aurait évité de multiples tentatives d’assas*inat) déclarait : « Nous sommes devenus plus forts parce que nous sommes ensemble. La vérité est derrière nous, et dans la vérité se trouve la force, qui signifie la victoire. La victoire sera la nôtre. »

En attendant, l’état de santé de Poutine continue de faire parler. Il faut dire que, depuis le début de la gue*re en février, la santé du président fait la une des médias. Au fil des mois, on a prêté de nombreuses maladies au dirigeant : la maladie de Parkinson ou encore le cancer. À ce propos, le compte Telegram General SVR, qui serait dirigé par un ancien membre du renseignement russe, le président se plaindrait de « douleurs à l’abdomen« .

On peut lire : « L’oncologie de Poutine progresse et, malgré un traitement adéquat ces derniers temps, la douleur n’est pas toujours complètement soulagée. Il faut comprendre que l’état déplorable de la santé physique et mentale du président affecte l’adoption de décisions clés. Poutine ne veut pas changer l’histoire, il veut y mettre fin. »