Une Knacki Ball met un enfant en danger
Sur le même sujet
Mais, cette fois, c’est une autre enfant qui nous interpelle…
En effet, c’est en 2012 à Lyon, que la petite Mayline s’étouffait en mangeant une mini-saucisse ronde « Knacki Ball », fabriquée par la société Herta. Fort heureusement, elle avait survécu après avoir fait plusieurs arrêts cardiorespiratoires. Mais aussi après avoir un coma dans lequel on l’a poussée.
Cependant, Le Parisien explique que Mayline souffre à ce jour d’importantes séquelles.
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Le Vatican dévoile plusieurs images du pape François dans son cercueil ouvert
-
Steven éliminé de Top Chef : blessé, il a menti à la production pour pouvoir participer au concours de la brigade cachée
-
Agathe, 28 ans, disparue en plein jogging : "pas très bon signe…", un initié pense déjà au pire
-
Mort du pape François : quelle est sa fortune ?
-
"Je buvais mon urine" : Dimitri Payet accusé de violences physiques et psychologiques par une femme qui dit avoir été sa compagne !
-
Louane : la chanteuse prend une décision radicale pour la préparation de l'Eurovision, "c'est trop toxique" !
-
Laury (Mariés au premier regard) : elle dévoile ce qu'elle a fait de sa robe de mariée portée dans l'émission
-
"Je dois me justifier sans cesse" : Sabrina Ouazani a une hygiène de vie qui interpelle
-
Qui est l'ancien élève de la Star Academy qui a participé à la composition du single d'Emma, "Barbie" ?
-
Les Miss France en deuil : mort à 37 ans d'une proche collaboratrice d'Angélique Angarni-Filopon, Flora Coquerel ou encore Marine Lorphelin
Et, c’est seulement le 15 mai dernier que la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement en civil du tribunal de grande instance de Paris. En 2016, il reconnaissait « Herta entièrement responsable des conséquences préjudiciables de l’accident. »
L’entreprise avait ainsi été condamnée à verser 150 000 euros à titre de provision à la famille. Mais, cette somme sera à nouveau examinée le 9 octobre prochain.
Le PDG de la marque, Arnaud De Belloy a confié « compatir vis-à-vis de la famille. »
Mais, ce n’est pas tout ! Car, il a tenu à ajouter par la suite : « Nous allons tenir compte du jugement pour améliorer l’étiquetage. Nous allons dramatiser l’avertissement. Ce produit peut être dangereux pour les enfants de moins de 4 ans. Il y aura une mention directe sur le risque possible d’étouffement. »
On espère que ce genre d’incident ne se reproduira plus…