Une Knacki Ball met un enfant en danger

Sur le même sujet
Mais, cette fois, c’est une autre enfant qui nous
interpelle…
En effet, c’est en 2012 à Lyon, que la petite Mayline s’étouffait en mangeant une mini-saucisse ronde « Knacki Ball », fabriquée par la société Herta. Fort heureusement, elle avait survécu après avoir fait plusieurs arrêts cardiorespiratoires. Mais aussi après avoir un coma dans lequel on l’a poussée.
Cependant, Le Parisien explique que Mayline souffre à ce jour
d’importantes séquelles.
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Matthieu Delormeau accro à la cocaïne : largué par son compagnon et lâché par le monde du PAF, les révélations sur sa descente aux enfers !
-
Karim Zeribi : il quitte CNews et dit tout sur ses 7 années passées avec la chaîne !
-
Slimane ne ressemble plus à ça : le chanteur pose avec un corps bien différent
-
Camille Cerf (Les Traitres) : ses propos choc après sa participation, "une aventure horrible
-
Kevin Guedj : soupçonné d'être impliqué dans une sombre affaire de trafic d'armes ? Un élu fait des révélations chocs !
-
Laura Lempika (Les Cinquante) : en couple avec Marco ? Les révélations inattendues !
-
Poupette Kenza : c'est officiel, l'influenceuse fait son retour sur les réseaux sociaux !
-
Agathe Auproux : maman pour la première fois, voici le prénom de son enfant !
-
Joey Starr : son domicile parisien cambriolé, le montant astronomique du préjudice !
-
"Ça me retourne le ventre" : la femme de Jimmy Mohamed, Souailla, contrainte d'interrompre sa grossesse !
Et, c’est seulement le 15 mai dernier que la cour d’appel de
Paris a confirmé le jugement en civil du tribunal de grande
instance de Paris. En 2016, il reconnaissait « Herta
entièrement responsable des conséquences préjudiciables de
l’accident. »
L’entreprise avait ainsi été condamnée à verser 150 000 euros à
titre de provision à la famille. Mais, cette somme sera à nouveau
examinée le 9 octobre prochain.
Le PDG de la marque, Arnaud De Belloy a confié
« compatir vis-à-vis de la famille. »
Mais, ce n’est pas tout ! Car, il a tenu à ajouter par la suite
: « Nous allons tenir compte du jugement pour améliorer
l’étiquetage. Nous allons dramatiser l’avertissement. Ce produit
peut être dangereux pour les enfants de moins de 4 ans. Il y aura
une mention directe sur le risque possible
d’étouffement. »
On espère que ce genre d’incident ne se reproduira plus…