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Ayem Nour au plus bas : elle continue d’accabler son ex Vincent Miclet

par Samantha Martins

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Crédit photo : Ayem Nour balance de nouveau sur son ex.

Alors qu’Ayem et son fils sont toujours coincés au Maroc, Vincent Miclet aurait porté plainte pour diffamation contre son ex. Elle balance.

Ayem Nour : victime de violences conjugales ?

La tension monte encore d’un cran entre les ex, Ayem Nour et Vincent Miclet. Pour rappel, il y a quelques jours, l’homme d’affaires a porté plainte contre la chroniqueuse pour enlèvement. En effet, il accusait Ayem d’avoir kidnappé leur fils, Ayvin.

Néanmoins, la justice marocaine a reconnu le droit de garde accordé par la justice française à la candidate de télé-réalité. Ce n’est pas pour autant que le milliardaire a décidé de lâcher l’affaire. Depuis plus d’une semaine maintenant, Ayem et son fils sont toujours coincés au Maroc, car Vincent Miclet refuserait de rendre le passeport du petit garçon.

À bout de nerf, l’influenceuse sort du silence et révèle être victime d’intimidation et de harcèlement depuis de nombreuses années. Et ce n’est pas tout ! Elle promet de dévoiler le vrai visage de son ex.

Ayem Nour : Vincent Miclet aurait porté plainte pour diffamation

Rapidement, Ayem met ses menaces à exécution. Sur Instagram, la mère de famille poste une photo d’elle datant de 2016 sur laquelle on peut la voir avec des marques rouges dans le cou. Ainsi, l’influenceuse insinue avoir été victime de violence conjugale de la part de son ex.

Bien qu’elle n’en ait pas dit plus à ce propos, Vincent Miclet aurait décidé de riposter. D’après les récentes stories, d’Ayem, il aurait porté plainte contre elle pour diffamation.

Elle balance : « Et ça continue… Encore une plainte contre moi que je viens recevoir… Plainte pour diffamation suite à la publication de la photo. Il perd son temps, j’ai toutes les preuves de ses actes. Et ce n’est que le début. Demain, c’est encore des heures au commissariat et à la préfecture de police. Une plainte non fondée avec de fausses accusations ici au Maroc, pour retarder la possibilité d’un éventuel départ en France. Quand cessera ce cauchemar. »

Puis d’ajouter : « Je commence par quoi… Je ne sais pas, je ne sais plus… Tellement de choses que j’ai gardé pour moi… Pour le préserver par amour et respect pour mon fils. » Comme toujours, les hashtags qui accompagnent ses publications sont pour le moins évocateurs : #monstre, #cauchemar ou encore #injustice.

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Passionnée d'écriture et de l'univers du digital, je me suis formée à la rédaction web. Désormais je décrypte quotidiennement le monde fou de l'influence, pour votre plus grand plaisir.

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