Au lendemain du triomphe du PSG face à l’Inter Milan (5-0) en finale de Ligue des champions, Emmanuel Macron a reçu les joueurs à l’Élysée pour saluer un exploit historique, qualifié de « fierté nationale ». Pourtant, son enthousiasme mesuré n’a pas échappé aux internautes : fervent supporter de l’OM, le président a glissé une allusion à la victoire marseillaise de 1993, ce qui a ravivé certains clivages footballistiques.
Sur les réseaux, certains ont dénoncé un hommage « forcé », d’autres un soutien « à contrecœur », tandis qu’un proche confiait qu’il avait « vibré dans la mesure de ce qu’un supporter marseillais peut faire ». Mais c’est pour une toute autre raison que le nom d’Emmanuel Macron est sur toutes les lèvres depuis le lundi 2 juin.
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Le vol spectaculaire de la statue d’Emmanuel Macron au musée Grévin
Ce lundi 2 juin 2025, la statue de cire d’Emmanuel Macron a été dérobée en plein jour au musée Grévin par un groupe d’activistes se revendiquant de Greenpeace. Selon les informations recueillies par l’AFP, deux femmes et un homme se sont introduits dans le musée en se faisant passer pour des touristes, avant de se changer sur place et d’endosser le rôle d’ouvriers.
Ce stratagème leur a permis de subtiliser la statue, estimée à 40 000 euros, qu’ils ont dissimulée sous une couverture pour la faire sortir discrètement par une issue de secours. Peu après, des passants ont pu apercevoir la sculpture présidentielle dans le 16e arrondissement de Paris, devant l’ambassade de Russie. Le musée Grévin a confirmé le vol, et précisé que la statue – exposée depuis mai 2018, un an après l’élection de Macron – demeure introuvable malgré l’interpellation de deux suspects.
Une action ciblée contre les relations économiques franco-russes
Derrière cette mise en scène spectaculaire, les militants de Greenpeace ont voulu frapper fort pour dénoncer les liens commerciaux persistants entre la France et la Russie, malgré la guerre en Ukraine. Devant l’ambassade, ils ont installé la statue du chef de l’État aux côtés de pancartes, d’un drapeau russe et de faux panneaux de signalisation, envoyant un message clair : Emmanuel Macron incarnerait, selon eux, un discours contradictoire.
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« Pour nous, la France joue un double jeu » et « Emmanuel Macron incarne ce double discours : il soutient l’Ukraine mais encourage les entreprises françaises à continuer à faire commerce avec la Russie », a déclaré Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France. L’organisation accuse le président de ne pas utiliser son influence pour faire pression au sein de l’Union européenne. Une opération coup de poing très médiatisée, qui replace la question des intérêts économiques au cœur du débat politique et symbolique.
Musée Grévin: la statue d'Emmanuel Macron a été posée devant l'ambassade de Russie par des activistes de Greenpeace pic.twitter.com/6sOZrI87Oy
— BFMTV (@BFMTV) June 2, 2025