Depuis une semaine désormais, Angélique Angarni-Filopon incarne la plus belle femme de France. Et avec son élection comme Miss France 2025, la trentenaire marque un réel tournant dans l’histoire du concours. Néanmoins, cette année ne s’annonce pas des plus simples pour la belle martiniquaise qui voit son règne largement contesté sur la Toile. Attaques sexistes ou racistes, cet engouement à son encontre peut aisément être reconnu comme du harcèlement.
Face à cet acharnement, Angélique Angarni-Filopon peut tout de même compter sur le soutien de quelques-uns. « À l’heure où l’on essaie de préserver les enfants du cyberharcèlement, je ne peux supporter les propos injurieux, voire racistes sur cette page ! » s’est emporté Bruno Guillon après une entrevue avec la reine de beauté. Et, à l’instar d’Eve Gilles qui a fait entendre sa voix pour dénoncer cette vague de haine, c’est à présent le comité de Miss France qui intervient.
Eve Gilles prend la défense de sa successeure
Hériter de la couronne de Miss France s’accompagne, hélas, de son lot de désagréments. En effet, l’année dernière, Eve Gilles était la cible de critiques récurrentes, notamment en raison de ses cheveux courts. Alors, face à l’acharnement enduré par sa successeure, l’ancienne reine de beauté n’a pas pu rester sans agir. Ainsi, celle qui a laissé des cadeaux à Angélique s’est saisie de son compte Instagram.
« Il faudra encore combien d’années à ces gens pour qu’ils comprennent ce qu’est le harcèlement ? Angélique est et restera Miss France 2025. Et tous ceux qui ne sont pas d’accord, je vous invite à la laisser tranquille ! » déclarait Eve Gilles sur son profil. Puis, de rappeler que, selon la loi, le cyberharcèlement est un délit passible d’un an de prison et de 7 500 euros d’amende minimum.
Angélique Angarni-Filopon harcelée : le comité intervient
Depuis le sacre d’Angélique Angarni-Filopon, on ne compte plus le nombre de messages blessants et injurieux fleurissant sur la Toile. Un harcèlement qui a finalement poussé la société de Miss France à réagir ce 20 décembre. Sur le compte Instagram officiel du concours, le président “condamne fermement ces propos. Ces commentaires injurieux n’ont pas leur place dans notre concours, pas plus que dans notre société et seront tous signalés aux autorités compétentes”.
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Et si la société Miss France condamne profondément une telle attitude générale, il en va de même pour la loi. En effet, de la même manière que Miss France 2024, le président de Miss France rappelle que “ le harcèlement et cyber harcèlement sont punis par la loi” dans un communiqué. Espérons que cette mise au point ne rentrera pas dans l’oreille d’un sourd.
La mise au point de Miss France :
©Instagram / @missfranceoffhttps://www.instagram.com/p/DDnOBWEse9M/