Depuis l’arrestation de Poupette Kenza le 4 juillet dernier, les rebondissements s’accumulent dans cette affaire. Pour rappel, la jeune femme est accusée de tentative d’extorsion en bande organisée et d’association de malfaiteurs. Ainsi incarcérée à la prison de Rouen depuis lors, l’influenceuse voit les coups durs l’accabler. Pour commencer, son mari Allan a refusé de se rendre aux autorités, anéantissant alors ses chances de libération anticipée.
Mais finalement, ce lundi 23 septembre, le père de famille s’est livré à la police, mettant ainsi fin à de longs mois de cavale. Cependant, Kenza Benchriff, plus connue sous le pseudonyme de Poupette Kenza, doit essuyer une autre difficulté : la fermeture de son salon de bronzage. Qui plus est, la cause de cette décision serait également liée à des actions illégales de la jeune femme. Décidément, les ennuis judiciaires se multiplient à son égard.
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L’affaire Poupette Kenza connaît de nouveaux rebondissements
Alors qu’Allan a finalement opté pour une reddition, cette décision pourrait avoir un impact important sur le sort de Poupette Kenza. Toutefois, de nombreuses zones d’ombres perdurent dans cette affaire. Sans compter d’ailleurs sur les nouveaux détails qui viennent d’être révélés et qui ne risquent pas de plaider en sa faveur. En effet, des messages troublants ont été inhumés dans le téléphone d’Eric Love, l’homme de main engagé par l’influenceuse.
Si celle-ci assure qu’elle voulait régler son différend financier avec Caroline de manière pacifique, de nombreux échanges mettent à mal cette version des faits. Sur l’application Signal, Eric Love aurait ainsi eu des conversations sans équivoque avec une dénommée « Kenza ». Des messages relatés par Le Parisien, dans lesquels l’homme de main propose d’abord cinq scénarios à la jeune femme pour récupérer son argent auprès du couple Caroline/Walid.
L’influenceuse nie en bloc
Ainsi, les possibilités sont classées par ordre de violence. L’option 1, elle, inclut de ne pas avoir recours à la violence, mais simplement de réclamer les sous. Quant à l’option 5, elle met en avant l’apparition d’un complice pour passer à tabac le père de famille, Walid. Entre les deux propositions, Eric Love propose aussi « d’agresser », les parents devant la crèche de leurs enfants, avec la participation de Poupette Kenza. Ce à quoi cette dernière aurait répondu :
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Donc j’ai payé 250 000 euros pour une pression devant une école en disant que t’es mon agent ? Quand tu prends un tel montant, c’est pas à la cliente de te dire quoi faire non ? Frère, qui attend quoi là ? Gère-moi ça vite. Je pense avoir fait preuve d’énormément de patience.
Sauf que ces messages virulents, Poupette s’en défend : selon ses dires, c’est Allan qui aurait eu ces conversations avec l’homme de main, et non elle. Ce qui est étonnant, c’est qu’Eric Love n’évoque à aucun moment un homme dans ses messages, et qu’il emploie systématiquement le féminin… Reste à voir ce qu’Allan aura à dire devant les enquêteurs… Pour rappel, Kenza risque jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle. Affaire à suivre !
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