Poupette Kenza : après Kamila, Maeva Ghennam s’en prend à elle et l’accuse de « manipulation »

Le monde des influenceurs se trouve une fois de plus secoué par des tensions acerbes. Avant, entre Magali Berdah et Maeva Ghennam, cette fois entre Poupette Kenza et Maeva. Les réseaux sociaux sont le théâtre d’un affrontement public entre les deux figures.

Cela ajoute un nouveau chapitre à une saga qui a débuté avec Maeva s’en prenant à Magali Berdah, la patronne de Poupette. Bataille acharnée au cours de laquelle Maeva a même reçu l’appel d’un politique. Plongeons dans le dédale de cette querelle médiatique.

Les coulisses du conflit médiatique

Le 11 décembre dernier, Maeva Ghennam a pris la parole sur Instagram, lançant ouvertement des attaques virulentes contre Magali Berdah. La candidate de télé-réalité réclame publiquement le remboursement de sommes qui lui sont dues, et les échanges sont devenus particulièrement cinglants. Ces réclamations sont tout à fait compréhensibles quand on sait exactement combien d’argent Magali Berdah doit aux influenceuses qui la poursuivent en justice.

Aussi, les reproches de Maeva portent sur des voyages de Magali en Israël et dénoncent des pratiques financières douteuses. Elle va même jusqu’à créer un collectif pour dénoncer les agissements de l’agente d’influenceurs. L’accusée en profite pour annoncer qu’elle souhaite porter plainte contre Maeva et sa mère. Cette saga, loin d’être terminée, prend une tournure inattendue en entraînant une nouvelle personnalité dans son sillage : Poupette Kenza.

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Poupette Kenza : nouvelle cible de Maeva ?

Maeva, connue pour son franc-parler, n’a pas mâché ses mots sur Snapchat. Ainsi, elle n’a pas hésité à comparer Poupette Kenza à Magali, accusant cette dernière de jouer la victime à des fins opportunistes. Sur la Toile, l’influenceuse dévoile un pan de cette querelle, allant même jusqu’à qualifier Poupette Kenza de « Magali Berdah musulmane ». Des allégations qui ont déclenché une avalanche de réactions de la part des internautes. Si certains prennent la défense de Poupette et reprochent à Maeva pour son attitude agressive, d’autres critiquent vivement Kenza et l’enfoncent davantage. Sur Snapchat, Maeva, encouragée par ses followers, laisse entendre que Poupette Kenza l’aurait trahie. En effet, elle répète à plusieurs reprises qu’elle lui a rendu service et qu’elle n’aura désormais plus de pitié pour elle puisqu’elle lui a « fait du mal ».

En plus de cela, elle ajoute qu’elle « manipule les gens en faisant [la] victime », mais aussi qu’elle n’a « pas de fierté » et qu’elle ne cherche qu’à « avoir la compassion des gens ». Maeva souligne bien que la seule raison pour laquelle elle n’a pas encore abordé ce sujet dans tous ses détails est qu’elle a de plus gros problèmes à gérer. En effet, elle rappelle qu’elle et sa mère ont reçu des menaces de mort après avoir explicitement soutenu la Palestine. C’est ainsi que Poupette Kenza devient malgré elle une victime collatérale de cette guerre d’influence. Sur les réseaux sociaux, la tension monte alors que cette dernière semble avoir pris du recul en les quittant. Cette nouvelle attaque pourrait-elle la faire revenir dans l’arène médiatique pour répondre à Maeva Ghennam ? La guerre des influenceurs continue de faire rage.