Kellyn Sun : elle quitte Dubaï et s’explique sur son départ inattendu

Kellyn Sun : elle déménage à Dubaï pour les impôts

Dubaï est la destination phare des candidats de télé-réalité et influenceurs français. Outre l’anonymat, la ville séduits aussi (et surtout) pour ses avantages fiscaux. D’ailleurs, lorsque Kellyn Sun a décidé de quitter Monaco pour les Émirats arabes unis, la candidate n’avait pas rougi de ses véritables motivations.

Lors d’une interview qu’elle nous a accordé, l’influenceuse expliquait : « J’habite à Monaco mais je payais des impôts français etc. Je trouvais que c’était un petit peu abusé. Je ne suis pas du tout contre payer des impôts en France mais, comme je l’ai déjà répété à plusieurs reprises, au-delà de 30% je trouve que ça fait quand même beaucoup.« 

Elle explique qu’elle payait alors 50 à 60 % d’impôts, ce qui lui paraissait être trop. Voici comment la jeune femme a décidé de s’expatrier à Dubaï, comme tous ses camarades. Mais, après une année là-bas, Kellyn décide finalement de faire machine arrière.

Kellyn Sun : les raisons de son départ de Dubaï

« Finalement, ce n’était pas vraiment ce que je pensais« , nous a-t-elle expliqué. Selon elle, la ville « manque d’authenticité », sans parler du fait que la vie là-bas serait très chère. Et, finalement, Kellyn se serait sentie isolée dans cette ville.

Mais, ce sont surtout les conditions de vie des animaux et des travailleurs qui a incité Kellyn Sun à revoir sa décision. La jeune femme nous a d’ailleurs expliqué avoir fait la rencontre d’un chauffeur pakistanais qui lui avait confié ne pas pouvoir retourner auprès de sa famille. On lui avait retiré son passeport à son arrivée. C’est effectivement ce qu’avait mis en lumière la journaliste Marie S’infiltre dans sa vidéo consacrée à l’envers du décor de Dubaï.

Suite à ses révélations, Kellyn Sun avait eu pour ambition de monter une association pour venir en aide à ces travailleurs. Mais la jeune femme s’est rapidement confronté à des murs. « Ce n’est pas comme ça que ça se passe ici » lui aurait-on dit. « C’est là où ça m’a un peu refroidie et je me suis dit « Ok bon ben je n’ai pas ma place ici je pense. » Je me suis dit : « Je ne peux pas me regarder dans une glace, faire comme si de rien n’était, vivre ma belle vie… euh non.«  Une décision que l’on peut saluer.