Miss France 2026 : les Miss régionales de nouveau pointées du doigt

Si l'on sait que l'élection Miss France s'accompagne chaque année de polémiques, la 96eme édition du concours frappe particulièrement fort. Quelques heures seulement après le couronnement d’Hinaupoko Devèze en tant que Miss France 2026, une vidéo destinée à un cercle privé a atterri sur la Toile causant d'importants dégâts. Dans celle-ci, on entendait Miss Provence et Miss Aquitaine s'en prendre violemment aux candidates sélectionnées du Top 12... dont elles ne faisaient pas partie.

Résultat : Julie Zitnoui et Aïnhoa Lahitete ont été destituées. En effet, les deux comités régionaux ont jugé que leurs propos ne reflétaient pas les valeurs fondamentales du concours et qu’elles ne pouvaient donc plus représenter leurs régions. Malheureusement, les polémiques ne s’arrêtent pas là. Miss Normandie a elle aussi été critiquée après l’élection pour avoir aimé sur ses réseaux sociaux des commentaires haineux ciblant la victoire d’Hinaupoko Devèze.

Miss France 2026 : une promotion difficile à gérer en coulisses ?

Tous ces incidents dressent le portrait d’une promotion particulièrement compliquée à gérer en interne. Et les révélations continuent de faire du bruit : ce 12 décembre, Public a en effet remis le feu aux poudres en dévoilant les coulisses de la préparation avant l’élection, affirmant que les difficultés dépassaient largement les quelques cas isolés. D’après une source proche du comité, cette année, les Miss se sont montrées particulièrement turbulentes.

 "Elles n'ont jamais été aussi impolies et indisciplinées à ne pas écouter les consignes. Comme si l'absence d'un vrai chaperon, à la façon de Sylvie Tellier, Cindy Fabre ou Geneviève de Fontenay avait joué", rapportent nos confrères, précisant même"qu'il y a eu des vrais clashs entre candidates durant la préparation." Cette année, le groupe aurait donc été particulièrement compliqué à canaliser pour les équipes encadrantes.

Un rappel à l'ordre pendant le voyage de préparation

Ces nouvelles révélations trouvent un écho dans les rumeurs qui circulaient déjà avant le grand soir de l'élection. À l’époque, plusieurs bruits de couloir avaient en effet souligné le comportement difficile de certaines Miss lors du voyage de préparation en Martinique, où la production avait d'ailleurs dû intervenir à plusieurs reprises pour recadrer les prétendantes au titre de Miss France 2026. Frédéric Gilbert, directeur du concours, avait lui-même admis avoir dû "resserrer la vis" personnellement face à la désorganisation et aux tensions qui régnaient en interne

Avec ces récentes confidences de Public, il apparaît que la promotion 2026 a été l’une des plus complexes à encadrer depuis plusieurs années, laissant entrevoir des coulisses particulièrement mouvementées. Pourtant, Mareva Michel (Miss Île-de-France) avait assuré le contraire sur le plateau de Tout beau Tout 9 : "Je n'ai pas senti de négativité ou de coups bas, comme on pourrait penser quand on est à Miss France. Non, c'était vraiment sain." Il y a visiblement deux sons de cloche !