Miss France 2026 : les candidates déjà rappelées à l'ordre à cause de leurs comportements insolents
En pleine préparation de l’élection Miss France, certaines candidates ont déjà fait parler d’elles… et pas pour les bonnes raisons ! Entre attitudes qui dérapent et petites tensions dans les coulisses, il a fallu un rappel à l’ordre pour remettre certaines participantes sur le droit chemin.
Résumé de l'article
À quelques semaines de l’élection Miss France 2026, l’organisation a dû rappeler fermement les règles de savoir-vivre après des comportements jugés trop légers lors du séjour en Martinique.
À quelques semaines du grand soir du 6 décembre prochain, l'ambiance s'est légèrement tendue parmi les trente prétendantes à la couronne de Miss France 2026. Lors de leur séjour en Martinique pour le traditionnel voyage de préparation, certaines candidates se seraient, selon Le Parisien, laissées aller à des comportements jugés trop désinvoltes. Résultat : l’organisation a dû rappeler gentiment à l’ordre le groupe, histoire de garder le cap avant la grande finale.
Tout semblait pourtant parfait ce mercredi au restaurant de l’hôtel où loge la délégation : sourires, politesses, échanges avec les équipes… l’image du concours était impeccable. Mais la veille, l’atmosphère avait légèrement changé. Après l’épreuve redoutée de culture générale, Frédéric Gilbert, directeur du concours et producteur de l’émission, a en effet dû intervenir pour remettre les pendules à l’heure, histoire que toutes gardent en tête que derrière les sourires, la compétition reste bien sérieuse.
Un rappel à l'ordre pour les prétendantes au titre de Miss France 2026
"Il y a eu un rappel à l’ordre ferme de l’enjeu et des comportements à avoir. J’ai mis un tour de vis. On est au quatrième jour et c’est tôt. Elles apprennent à se connaître, il y a des affinités et il y a eu aussi du laxisme chez certaines sur le respect des règles. Il a fallu remettre un cadre", a-t-il en effet confié dans les colonnes du Parisien. Selon Frédéric Gilbert, cette intervention visait avant tout à rappeler à chacune l’importance du respect des règles de vie commune et du personnel encadrant.
Le directeur du concours a d'ailleurs cité quelques exemples très concrets : "Quand on prend un café, on ne laisse pas traîner son gobelet. Ce n’est pas aux maquilleurs ou aux coiffeurs de ranger derrière. De même, quand le téléphone sonne pendant une activité ou le HMC, on ne décroche pas." Pour Frédéric Gilbert, ces "règles simples" sont indispensables. L'idée est simplement de rappeler que le titre de Miss France s'accompagne d'un comportement irréprochable, avant même d'espérer porter la couronne.
Des valeurs inscrites dans le temps
Toujours selon Le Parisien, des retours auraient aussi signalé à la direction des attitudes "un peu légères" de la part d'un petit groupe de candidates. Pas question pour autant de pointer qui que ce soit du doigt : "On ne nomme personne. Chacune se reconnaît dans ce qu’on dit. On rappelle les règles, celles qu’on avait déjà posées à Paris : respect du personnel, des équipes. Les femmes de ménage ne doivent pas trouver des affaires partout dans les chambres". Des comportements jugés impolis ou un brin insolents auraient également été remarqués lors de certaines activités.
Quelques petits écarts, sans gravité, mais qui ont quand même agacé l’organisation. " Le respect doit être réciproque. On n’est pas leurs potes. Il faut dire ‘bonjour, merci, au revoir’, ça reste la base ", a insisté Frédéric Gilbert en rappelant que cette exigence n'a rien de vieux jeu : "Geneviève de Fontenay, Sylvie Tellier… Toutes y tenaient beaucoup. Et nous aussi". Au-delà de cet épisode, le directeur du concours a aussi tenu à rappeler que rien n'était encore joué : "Être élue Miss France, c’est un marathon, une course de fond. Tous les ans, il y a des favorites. Mais beaucoup d’entre elles ne finissent pas Miss France".