Miss France 2026 : des comportements malaisants en Martinique ? Frédéric Gilbert met les choses au clair
Alors que des rumeurs de “comportement malaisant” en Martinique font parler, le nouveau patron des Miss France a tenu à rétablir la vérité dans Le Parisien.
Résumé de l'article
— Depuis son arrivée à la tête du concours, Frédéric Gilbert insuffle un vent de modernité à Miss France, en mettant l’accent sur la sécurité et le bien-être des candidates.
— Le règlement, désormais très strict, bannit tout contact non consenti et prévoit une réaction immédiate en cas d’écart de conduite.
— Les participantes sont en permanence encadrées, tandis qu’un code de conduite précis s’impose à l’ensemble du personnel et des photographes.
Le concours Miss France vit une véritable révolution. Depuis l’arrivée de Frédéric Gilbert aux commandes, le concours mythique se réinvente en profondeur : plus moderne, plus encadré, plus sécurisé. À la fois producteur et directeur, le successeur de Sylvie Tellier a en effet instauré une nouvelle ère, marquée par une vigilance renforcée et, avant tout, une priorité claire : la protection des reines de beauté.
Alors que le séjour de préparation en Martinique a été entouré de rumeurs sur un “comportement malaisant”, Frédéric Gilbert a rapidement tenu à remettre les choses au clair dans une entrevue accordée à nos confrères du Parisien. "Il n’y a eu aucun incident", assure en effet le directeur de Miss France, avant de préciser qu'il a eu "simplement un rappel des règles que nous avons instaurées depuis plusieurs mois”.
Rumeurs et scandale ? Frédéric Gilbert, le nouveau patron de Miss France, clarifie tout
Depuis le règne d’Ève Gilles, Miss France 2025, le concours a vu ses règles complètement repensées. “Lors d’un déplacement, elle s’est sentie mal à l’aise parce que des centaines de personnes voulaient la toucher, l’enlacer, prendre des selfies. Ce n’était pas agressif, mais c’est intrusif”, explique Frédéric Gilbert à nos confrères. Depuis, une règle non négociable s’applique : plus aucun contact physique n’est autorisé sans le consentement explicite de la Miss.
“À partir du moment où une main se tend, nos équipes interviennent immédiatement”, précise aussi le directeur. Angélique Angarni-Filopon, Miss France en titre, a opté pour sa façon bien à elle de faire les choses : “Elle garde une main dans le dos et fait appel à la sécurité dès qu’elle sent un geste déplacé”. Si les enfants peuvent encore s’approcher pour une photo ou un câlin, “pour les hommes, la consigne est claire : on ne touche plus”, insiste Frédéric Gilbert.
Tolérance zéro pour tout geste déplacé envers les reines de beauté
Désormais, chaque déplacement des candidates est sous haute surveillance. Aucun trajet ne se fait sans au moins deux encadrants et un agent de sécurité, et lors des élections régionales, un garde du corps est systématiquement présent au premier rang. “Plus jamais une Miss ne doit se sentir seule ou vulnérable”, souligne le directeur du concours, affirmant sa priorité absolue : la protection et le bien-être des participantes.
Les équipes techniques et les photographes sont également soumis à un code de conduite strict. “Nous briefons tout le monde avant les tournages : aucune remarque inappropriée, aucun comportement ambigu n’est toléré”, insiste Frédéric Gilbert. Face à tout geste déplacé, les candidates sont d'ailleurs encouragées à réagir sur-le-champ : “On leur répète à chaque étape — si quelque chose vous met mal à l’aise, vous venez nous le dire.”. De nouvelles règles pensées dans un seul but : la préservation des jeunes reines de beauté.
