Miss France 2026 : 14 demi-finalistes ont déjà été choisies au lieu de 12
Parmi les 30 candidates au titre de Miss France 2026, seules quelques favorites ont déjà décroché leur place en demi-finale, après une pré-sélection tenue secrète par le jury.
Résumé de l'article
Le jury, composé de 9 personnalités triées sur le vol, a déjà sélectionné 14 demi-finalistes pour le titre de Miss France 2026.
Pour l'instant, 30 jeunes femmes rêvent de décrocher la couronne de Miss France 2026, créée cette année par Mauboussin. Un bijou exceptionnel composé de 314 améthystes, 43 quartz roses et 37 diamants, fruit de plus de 170 heures de travail pour les artisans du joaillier. Mais ce n’est pas la seule motivation des prétendantes. Au‑delà de la couronne, elles savent bien que ce titre peut transformer une vie et offrir de nouvelles opportunités, à l’image de Diane Leyre, Élodie Gossuin ou Amandine Petit.
Elles sont donc encore 30 à espérer succéder à Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025. Mais samedi prochain, sur la scène du Zénith d'Amiens, la compétition va s’accélérer : elles ne seront plus que 12, puis 5, avant que Jean-Pierre Foucault ne désigne enfin la grande gagnante. Mais en réalité, en coulisses, la liste des pré-sélectionnées pour la finale est déjà connue, comme le rappelle Le Parisien dans son numéro du 4 décembre.
Miss France 2026 : neuf jurés ont déjà fait leur choix pour la demi-finale
Nos confrères ont pu accéder aux coulisses de la réunion ultra-secrète tenue ce mercredi 3 décembre, dans un lieu gardé secret à Amiens. C’est là qu’un jury composé de neuf personnalités triées sur le volet a déterminé quelles candidates poursuivraient l’aventure samedi soir. Autour de Frédéric Gilbert, patron du concours et producteur du show, siégeaient huit jurés ayant suivi de près la préparation des Miss, notamment durant leur séjour en Martinique. Parmi eux figuraient aussi deux anciennes reines de beauté : Ève Gilles et Marine Lorphelin.
À leurs côtés se sont ajoutés Stéphane Jarny, le directeur artistique du show depuis des années, Fabien Provost — héritier de la célèbre maison de coiffure —, un cadre de TF1, ainsi qu'un représentant de la ville d’Amiens et deux membres de la société Miss France. L’après-midi a donc été rythmée par le passage des 30 Miss régionales, présentées une par une dans l’ordre alphabétique. Un exercice parfois interminable : Miss Tahiti, arrivée en toute dernière, a attendu près de quatre heures avant d’entrer à son tour devant le jury. De quoi faire grimper la pression d’un cran…
Pourquoi une short list de 14 finalistes… pour seulement 12 places ?
Les jurés ont alors visionné les portraits de 45 secondes qui seront diffusés samedi sur TF1, histoire d’évaluer la photogénie des candidates. Puis, chaque Miss a eu cinq minutes d’entretien pour montrer sincérité et assurance. Un passage crucial, rappelle Frédéric Gilbert : la future gagnante devra répondre à des centaines de questions durant son règne. Il confie d’ailleurs que certaines se révèlent vraiment à ce moment-là : des personnalités très discrètes jusqu'ici peuvent surprendre. L’objectif, dit-il, est simple : cerner leur humour, leur spontanéité et leur vraie envie de devenir Miss France. Le tout dans une ambiance sérieuse… mais détendue.
Le choix final s’est ensuite fait par un vote à bulletin secret. Les jurés, installés derrière des tables séparées d’un mètre cinquante, pouvaient discuter entre eux, mais leur décision restait entièrement personnelle. Selon Le Parisien, "un second scrutin départage les candidates concernées" en cas d'égalité. À l’issue de la sélection, quatorze noms ont finalement été retenus, une petite marge de sécurité au cas où deux candidates "auraient un empêchement d’ici l’heure fatidique". D’ici samedi, seuls Frédéric Gilbert et Maître Simonin, l’huissier emblématique du concours, connaissent l’identité des demi-finalistes. En attendant l’ouverture de l’enveloppe, toutes les candidates peuvent encore y croire.