Nikola raconte son erreurNikola Lozina : accusé de ne pas s'occuper de son fils Zlatan, il règle ses comptes avec Laura Lempika 

Nikola Lozina continue de faire parler de lui—mais pas forcément là où on l’attend. Depuis qu’il a quitté la télé-réalité, l’ex-candidat a multiplié les projets, partagé son rôle de papa et présidé un club amateur de football. Pourtant, ces derniers jours, ce sont deux affaires bien différentes qui l’ont remis au centre de l’actualité.

D’abord ses révélations étonnantes sur sa condamnation en Belgique, puis une polémique l’accusant de négliger son fils Zlatan. Face aux critiques, Nikola a choisi la transparence. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas mâché ses mots.

Nikola Lozina raconte ses ennuis avec la justice

Nikola Lozina a surpris tout le monde en publiant une vidéo TikTok dans laquelle il lève le voile sur une affaire passée sous silence jusque-là. « J’ai été condamné par la justice belge. Cette histoire est bien vraie, je vous la raconte aujourd’hui », annonce-t-il dès les premières secondes. Les faits remontent à plusieurs années, en pleine période Covid. Nikola devait quitter la Belgique en urgence pour se rendre à Dubaï. Pour éviter les contraintes administratives, il admet avoir commis l’impensable : « Il y a 4, 5 ans, je devais partir rapidement à Dubaï et j’ai fait fabriquer un faux test Covid. J’ai transgressé la loi et j’aurais pas dû. » Mais sa tentative tourne court. « Finalement je me suis fait choper à l’aéroport et j’ai été bloqué en Belgique », explique-t-il. L’histoire ne s’arrête pas là : quelques mois plus tard, alors qu’il est invité au Qatar pour la Coupe du monde, il raconte qu’un agent l’interpelle : « Un mec me dit : “Suivez-moi, monsieur Lozina, vous avez un mandat de capture contre vous.” »

Ce qui devait être un simple voyage festif se transforme en cauchemar. « Je me retrouve à la prison, dans une salle avec des détenus, j’ai pas compris ce qu’il m’arrivait », confie-t-il. Jugé par la suite, il écope de 50 heures de travaux d’intérêt général. Fidèle à son humour, Nikola raconte la suite avec un brin d’autodérision : « Je me retrouve à faire des travaux d’intérêt général dans des jardins, je tonds des parcs et des pelouses. » Et dans une vidéo, on le voit même danser en gilet orange sur du Maître Gims. En légende ? « Faut assumer ses conneries maintenant, dans la joie et la bonne humeur ! » Au-delà du gag, il livre une vraie mise en garde : « Le rôle d’un influenceur, c’est de prévenir : ne jouez jamais avec la loi, ils auront toujours le dernier mot sur vous. »

Accusé de négliger son fils, Nikola rétablit sa vérité 

À peine son histoire judiciaire révélée, Nikola Lozina se retrouve embarqué dans une seconde polémique : des rumeurs affirment qu’il aurait « refusé de s’occuper de son fils ». Une accusation qu’il juge profondément injuste. « J’ai vu récemment qu’on s’amuse à titrer “Nikola refuse de s’occuper de son fils”. » Mais selon lui, impossible de comprendre la situation sans connaître les faits. « Quand Laura me demande de revenir à Dubaï pour garder le petit le 9 juin, faut savoir que je venais de quitter Dubaï le 22 mai… et je n’ai pas pu y aller. » Il insiste : « Ce n’est pas parce que je n’ai pas voulu mais je n’ai pas pu. » En cause : un contrat majeur, « un gros contrat avec Coca-Cola » qu’il venait de décrocher. « Les contrats ne tombent pas du ciel, et je dois travailler », rappelle-t-il. De son côté, Laura Lempika explique que Zlatan ne pouvait pas voyager car il avait école. D’autant que Laura partait en tournage pour Les Cinquante : « On est un peu des saisonniers nous, on doit s’éloigner 1 mois de nos proches pour faire des tournages. »

Ce qui le touche le plus ? La formulation. « Je trouve ça dégueulasse de dire ‘refuse de s’occuper’, c’est vraiment ridicule. » Il assure être toujours présent : « Quand Laura part en vacances à Bali, je me rends disponible pour aller à Dubaï m’occuper du petit. » Et aujourd’hui encore, il prend la relève. Professionnellement, il tente de concilier obligations et paternité : « Je ne peux pas être pendu à un clou, j’essaye de faire ce que je peux. » Une polémique inutile, selon lui : « J’ai décidé d’arrêter de faire C’est la famille pour éviter de reparler du passé et de devoir laver mon linge sale en public. Je trouve ça petit. » Et c’est ici qu’il vise directement les chaînes et la production :
« Je trouve ça assez décevant de dire des choses comme ça », ajoute-t-il, s’en prenant ouvertement à 6play, M6 et Banijay pour le montage qu’il juge trompeur. Sa conclusion est limpide :
« Avoir une version c’est bien, mais avoir les deux c’est toujours mieux. » Une mise au point ferme… et nécessaire.