Violences, maltraitances en crèches… Capucine Anav parle du choix qu’elle a fait pour sa fille Lola

Capucine Anav évoque les vio.lences en crèches

Capucine a donné naissance à son bébé le 13 novembre dernier. Dans les colonnes de Paris Match, la jeune maman avait confié que Lola était en pleine forme et qu’elle faisait le bonheur de ses parents. .

Avoir Lola dans sa vie c’est presque une suite logique pour celle qui rêvait d’avoir une fille un jour : « Je piquais les chaussures et les sacs à main de ma mère. Je jouais à la poupée contrairement à mes sœurs qui étaient très « garçons manqués. J’étais le cliché un peu insupportable de la petite fille ! Me dire que je vais pouvoir continuer à jouer à la poupée avec la mienne… J’en suis ravie ! ».

Si elle fait parler d’elle cette fois, c’est parce que Capucine (qui a parlé de son grand-père) a réagi à un sujet d’actualité. Des inspecteurs de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) ont publié un rapport le mardi 11 avril. Ils s’alarment d’une qualité d’accueil « très disparate » dans les crèches. L’IGAS appelle à de profondes réformes pour mieux prévenir les maltraitances sur les enfants.

 

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La jeune maman prend une décision radicale

Julie Fallon, ancienne responsable d’une crèche privée, a témoigné de son côté sur le plateau de TPMP. Elle a évoqué les nombreuses vio.lences que deux de ses employées commettaient sur les enfants. Grâce à une autre salariée, elle a pu avoir toutes les preuves nécessaires. « On les voit traiter les enfants de ‘sale pu.te’, de ‘co.nnard’, de ‘couill.on’… On voit une des salariés qui prend une enfant de 8 mois en hauteur et qui la laisse tomber et la rattrape au dernier moment et elle s’amuse en fait à filmer la peur dans le visage de l’enfant », a-t-elle déclaré.

Un rapport qui a fait froid dans le dos à de nombreuses personnes, y compris Capucine Anav. En étant maman d’une petite fille, ces révélations l’ont énormément effrayée. Par conséquent, celle qui a soutenu Hilona Gos a pris la décision de ne pas mettre sa fille en crèche. « Vous avez été nombreuses à me dire ‘si tu es fatiguée, mets ta fille à la crèche’… Eh bien je pourrais mou.rir de fatigue s’il le faut, mais je reste sur ma position ! », a-t-elle écrit en story Instagram. C’est certain, d’autres mamans ont dû valider son choix !

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