Un cyber-harcèlement qui aurait pu lui coûter la vie
Sur le même sujet
Être sur le devant de la scène n’a pas que des côtés positifs. Bien sûr que cela rapporte de l’argent, des projets mais aussi de belles rencontres. En revanche, avoir une vie publique c’est également faire face aux trop nombreuses critiques. Et aussi accepter les haters qui peuvent détruire les personnes les plus fortes.
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Princesse Carolina de Bourbon : hospitalisée en soins intensifs après un grave accident, les photos chocs !
-
Série d'overdose à Paris : un attaché parlementaire est en urgence absolue
-
Disparition de Maddie McCann : le principal suspect aquitté de plusieurs accusations de viol et d'abus sexuel mais toujours incarcéré !
-
"Le cœur plus léger" : Rym Renom réconciliée avec Marwa Merazka, elle lui fait une belle déclaration !
-
"J’ai pas du tout fait le lien" : Marguerite (Star Academy) répond aux accusations de plagiat concernant son titre Les filles, les meufs
-
Mathieu Kassovitz : ses propos sur "les français de souche" créent la polémique, il répond cash !
-
"C'était tellement horrible" : une voiture fonce dans la foule lors de la parade du Liverpool FC, un célèbre joueur de football français était présent !
-
"Je m'applaudis..." : Isabeau boycottée sur les réseaux sociaux, elle brise le silence pour la première fois !
-
Casting, date de diffusion : tout ce qu'il faut savoir sur la nouvelle télé-réalité de W9, The Detective Club !
-
Élodie Gossuin : elle se livre sur ses angoisses de maman, "je n'étais pas prête à ça..."
Heureusement, à l’époque, les réseaux sociaux n’avaient pas une telle place dans notre société. Ainsi, l’impact qu’un réseau comme Twitter pouvait avoir était minime. Nadège confesse alors à un sam Zirah décontenancé : « C’est un sujet très sensible. À l’époque, il n’y avait que Twitter comme réseau social et j’y prêtais aucune attention, je m’en foutais. Mais avec les petits bad buzz que j’ai fait par la suite, je me dis que s’il y avait eu autant de réseaux sociaux qu’aujourd’hui, je pense que j’aurais carrément réussi à sauter« .
Elle donne alors un conseil plus que précieux à l’heure où le cyber-harcèlement est de plus en plus important . « C’est dur ce qu’on vit aujourd’hui avec les réseaux sociaux. Il ne faut pas leur donner d’importance, faut pas que les jeunes donnent de l’importance à la méchanceté gratuite des gens. Les réseaux sociaux c’est bien, il faut kiffer ses propres stories, mais il faut en avoir rien à faire des commentaires des gens, de ceux qui veulent salir notre image ou nous rabaisser. Il faut croire en soi. »
De son côté, si elle n’a pas été au bout de sa tentative, c’est parce qu’elle avait une personne qui l’a aidée et lui a dit que tout passe, même un bad buzz.
Heureusement, aujourd’hui la jeune femme va bien et s’épanouit à travers son propre one-woman show.