Treize personnes interpellées pour cyber-harcèlement
Depuis un moment, Magali Berdah doit fait face à un déferlement médiatique à son encontre. Cela a débuté quand Booba s’est lancée dans la lutte contre les « influvoleurs ». En effet, le rappeur a accusé à plusieurs reprises la directrice de Shauna Events d’arnaquer les internautes. Il a donc déposé plainte pour « escroquerie en bande organisée ».
Face à ses attaques, Magali Berdah (qui est depuis vic*time d’acharnement et de harcèlement depuis sur la toile) s’est toujours défendue et a nié vouloir arnaquer les clients. Dans une publication sur Instagram, elle avait alors déclaré : « Il est temps de remettre un peu les choses en place, évidemment que rien n’est parfait. Évidement qu’il y a énormément de choses et de règles à mettre en place, évidemment qu’il faut réguler et cela fait très longtemps que j’en parle ouvertement !! Évidemment qu’il y a des bons et des mauvais partout comme dans tous les métiers ! Mais ce qui est sûre c’est qu’être influenceur, c’est un métier exceptionnel. Qui apporte énormément de choses sur le plan social, économique, relationnel et autres ! La diabolisation d’un métier est dangereuse ! ». Peu importe, Booba continue de mener sa bataille.
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Magali Berdah prend la parole
Dans un premier temps, Magali a obtenu gain de cause en faisant fermer le compte Instagram de Booba. En revanche, la justice a tranché en la faveur de ce dernier… Mais voilà que Meta, la société détenant Instagram, a décidé de ne pas suivre ces indications. Alors, le Duc de Boulogne n’a pu récupérer son compte.
Cette fois, la justice s’est rangé du côté de Magali Berdah. Et pour cause, la pol*ce a arrêté 13 individus suspectés d’être coupables de harcèlement et incitation à la haine contre l’agent. Face caméra, elle a déclaré : « Je suis un peu dans un état catastrophique, mais ce sont vraiment des larmes de joie ». Avant de poursuivre : « Je suis vraiment très contente. Dans mon dossier, il y a eu 13 personnes qui ont été interpellées, 12 qui vont être jugées, donc qui ont déjà une date d’audience. Je suis trop contente car déjà, ça montre qu’on ne peut pas faire n’importe quoi sur les réseaux, que ça ne reste pas impuni. Il faut prendre conscience de ce qu’il se passe sur les réseaux. ». Magali a alors conseillé aux internautes vict*mes d’harcèlement de porter plainte.
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