Lola : le traitement spécial réservé à la suspecte à Fresnes se précise

Lola : Dhabia est la principale suspecte

Ce drame a secoué la France entière. La petite Lola, 12 ans, a été t*ée, tort*rée et viol*ée par une femme de 24 ans, Dahbia. Quatre jours après le terrible meu*tre de l’adolescente, l’enquête se poursuit. Mise en examen depuis lundi dans le cadre de l’information judiciaire ouverte, la principale suspecte donne des explications sur ce qu’il se serait passé le soir du drame. Selon le communiqué du procureur, elle « aurait entraîné la vict*me jusqu’à l’appartement de sa sœur, vivant dans le même immeuble que l’enfant. »

Lors de sa quatrième audition, la jeune femme fait des confessions immondes : « Je l’ai attrapée par les cheveux, j’ai mis sa tête entre mes jambes […], j’ai eu un orga*me. » Puis, elle lui aurait scotché le visage ce qui a probablement entraîné la m*rt par asphyxie de Lola. Après quoi, la suspecte aurait pris le temps de boire un café et d’écouter de la musique avant de s’en prendre à nouveau à sa vi*time. Elle aurait alors lardé de coups de ciseaux le cou de la jeune fille, qui se serait pratiquement décroché du tronc. Elle affirme également avoir bu du sang de la vi*time qu’elle aurait récoltée dans une bouteille. Une description qui semble parfaitement correspondre aux constatations médico-légales. Les enquêteurs étudient la piste de la vengeance.

Le traitement réservé à Dhabia la pris*n de Fresnes dévoilé

La justice a décidé de placer la principale suspecte en détention provisoire à la pris*n de Fresnes. Dans les colonnes du Parisien, un membre du pénitencier a expliqué qu’elle était arrivée « en pleine nuit ». Dès son arrivée, elle a été « laissée dans une pièce quelques heures et au petit matin ». Elle restera seule dans sa cellule et elle a dû être reçue « par la directrice ». Cette source a également précisé que cette femme devait passer un examen psychiatrique. Cela permettra de savoir si elle peut rester incarcérée.

Ce membre pénitention a poursuivi : « On essaye déjà de la protéger d’elle-même en cas de tentative de suic*de. Ensuite, on va faire en sorte qu’aucune autre détenue ne l’approche. Tout va être organisé pour qu’elle ne croise personne. » Et au vu de la médiatisation de l’affaire, le personnel qui travaille dans la pr*son est aussi passé au crible : « Beaucoup de collègues sont aussi des mères de famille choquées par ce qu’il s’est passé. C’est la raison pour laquelle on choisit du personnel trié sur le volet, assure encore cette personne dans les colonnes du Parisien. En plus, il s’agit d’une personne mise en examen et qui reste donc présumée innocente. » En attendant, les habitants du 19e arrondissement de Paris restent choqués par cette affaire.

 

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