Jazz : son cambrioleur demande une libération, elle lui s’exprime

Le jour où tout a basculé…

En avril 2018, Magali Berdah, l’agent de stars de télé-réalité, a pris la parole pour annoncer une bien triste nouvelle : Jazz et Laurent ont été victimes d’un « braquage avec armes à feu ». Jazz et sa fille Chelsea, âgée seulement de quatre mois à l’époque, avaient été « gazées » par leurs ravisseurs, pendant que son compagnon Laurent se faisait battre. En état de choc, le couple ne s’est prononcé que quelques jours plus tard.

Depuis cet incident, les deux amoureux ont décidé de quitter la France pour mettre leur famille en sécurité. Jazz et Laurent ont donc décidé d’emménager à Dubaï, comme leurs collègues Jessica et Thibault. « On a pris cette décision suite aux derniers événements, c’était évident qu’il fallait partir », avait déclaré Jazz qui a récemment dévoilé une facture exorbitante.

Jazz adresse un message coup de poing à son agresseur

Pratiquement un an après le braquage qui les a traumatisés, Jazz et Laurent ont appris une bonne nouvelle. Un des cambrioleurs a été retrouvé puis écroué. Jazz avait annoncé début avril que l’homme était en prison depuis une quinzaine de jours. Elle avait déclaré : « J’espère qu’il y restera un bon moment. Je lui souhaite de pourrir là-bas !« 

Si la jeune femme n’avait plus jamais parlé de son agresseur, une récente story montre que Jazz qui a présenté sa petite soeur Florence est très en colère. En effet, la candidate de télé-réalité qui a récemment cartonné avec son émission la JLC Family, vient d’apprendre que le cambrioleur a fait une demande de libération. Hors d’elle, elle lui adresse un message : « Tu as osé demander une libération avec ce que tu nous as fait ? Torturer psychologiquement, séquestration, tabasser, voler. Tu as été mon pire cauchemar pendant plus d’un an et tu demandes une libération ? Reste bien au chaud, c’est là où tu mérites d’être. Crois-moi que je ne te laisserai jamais avoir l’occasion de faire du mal à une autre famille ! Maintenant tu pleures ? Mais sais-tu combien de nuit ma fille et moi avons pleuré de peur, du méchant monstre que tu es ? »