Fidji Ruiz : accusée d’avoir menti à propos de son accident avec son mari Anas, elle met les choses au clair

Depuis une semaine, Fidji Ruiz vit un cauchemar. L’ex-candidate de télé-réalité a été victime d’un grave accident de la route avec son mari Anas, alors qu’ils étaient à Marrakech. Si elle a d’abord partagé des nouvelles rassurantes, elle est désormais au cœur d’une polémique.

Certaines personnes l’accusent de mentir sur les circonstances de l’accident. Face à ces soupçons, Fidji Ruiz a pris la parole ce vendredi 18 juillet sur Instagram pour répondre avec fermeté et émotion.

Traumatisée, Fidji Ruiz revient sur les conséquences de cet accident

Dans une longue story, Fidji Ruiz remercie d’abord ses abonnés pour leur soutien. Puis elle entre dans le vif du sujet.

Je suis encore traumatisée par l’accident… On va tout vous raconter, vous montrer ce qu’on a vécu, ce qu’on a subi.

Elle revient sur l’état de son mari :

Le pronostic vital d’Anas a été engagé… On en gardera des cicatrices, des brûlures. Que ce soit sur nos corps ou dans nos têtes.

Elle se souvient aussi du moment où elle a dû signer les papiers de consentement pour une opération à haut risque : « Je me revois encore, en larmes, en train de devoir signer les papiers de consentement pour qu’Anas soit opéré en vue des énormes risques… J’avais l’impression que mon cœur allait lâcher. »

Très émue, elle parle de sa détresse : « J’espère trouver la force de parler, parce que rien d’y penser, je pleure. Je tremble. J’ai un poids dans la poitrine qui ne part pas… des palpitations, c’est horrible. » La jeune femme affirme avoir « tout filmé, tout pris en photo comme preuves ». Elle confirme également qu’une procédure est en cours avec la police.

Des preuves filmées pour se protéger

Accusée d’avoir tout mis en scène, Fidji Ruiz explique pourquoi elle a tout filmé. « Beaucoup se demandent pourquoi j’ai tout pris en photo, pourquoi j’ai filmé ce qu’on a vécu pendant et après l’accident. » Elle répond sans détour. Dès l’impact, leurs familles ont été prévenues. Et ce sont elles qui ont conseillé : « Prenez tout en photo, filmez tout, gardez des preuves. »

La raison ? « Parce qu’on n’est pas chez nous ici. On ne connaît ni les hôpitaux, ni les procédures, ni les lois. » Sans repères, elle a préféré tout documenter. « On n’a pas nos repères, et on ne savait pas comment les choses allaient évoluer… surtout si ça tournait au drame » Elle conclut : « Ce sont des preuves. Et une manière de garder le fil dans ce cauchemar. »