#BoycottLesAnges : Angèle, Rania et Nathanya livrent leur témoignage poignant sur TPMP

#BoycottlesAnges : les candidates viennent témoigner sur le plateau de TPMP

C’est une histoire qui commence à prendre de plus en plus d’ampleur. Après les révélations faites par Rania, Angèle, Nathanya et Céline Morel sur les réseaux sociaux, deux anciennes stagiaires de la Grosse Équipe ont témoigné. Ces nouvelles déclarations viennent corroborer les propos des jeunes femmes selon lesquels, la production des Anges pousserait les candidats à l’acharnement. 

Ce mercredi 21 avril, Cyril Hanouna a invité les candidates des Anges sur son plateau afin qu’elles puissent partager leurs (mauvaises) expériences sur TPMP. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les filles n’y sont pas allées de main morte.

En effet, Angèle, Rania et Nathanya ont fait des révélations fracassantes aux chroniqueurs de l’émission. Ainsi, l’ex de Greg Yega est revenue sur les différents faits qui lui sont arrivés sur le tournage : « on m’a jeté du produit ménager à la figure, on a menacé de me frapper, on a voulu me frapper, la production m’a enfermé à clef dans ma chambre. » Selon elle, la production manigance tout pour faire de l’un des candidats la tête de truc de l’aventure.

Nathanya : traité comme une escorte par Raphaël Pépin, elle raconte

Mais ce n’est pas tout. Comme le confiait également Aurélie Van Daelen, la production met la pression aux jeunes candidates pour qu’elles se mettent en couple sur l’émission. « Y’a 2 000 CV avec des personnes qui sont prêts à le faire » balance Rania.

Cette dernière avoue même avoir déjà fait une dépression suite à sa participation au programme. L’unique raison pour laquelle elle avait acceptée de revenir cette année, c’est parce que la production lui avait fait croire que les choses avaient changé.

Quant à Nathanya, la candidate a été traitée comme une escorte durant des jours par l’un des candidats de la maison. La raison ? La jeune femme portait des chaussures de luxe. Elle explique qu’il n’arrêtait pas de lui demander combien elle prenait pour une f*llation. Lorsqu’elle s’est plainte à la production, celle-ci lui aurait tout simplement répondu : « Bah écoute si ça te touche qu’on te traite de ça, c’est que tu en es une. »

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